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C'est quoi ta plus grande honte ?

Salut toi ! Ca va derrière ton pécé ? T'es heureux d'être là, au lieu de bosser ?

Bon, aujourd'hui je t'ouvre un concours à la con... T'aimes ça hein ?

Alors voualà, j'vais te raconter mon plus grand moment de solitude humaine.

Ensuite, toi dans les commentaires, tu me racontes ton cas perso (sur n'importe quel thème. Juste le jour où toi tu penses que tu as eue la plus grosse teu-hon de toute ta laïfe...).

 

Cui qui me fait le plus rigouler et ben il gagne la chose suivante :

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Charmant et classieux n'est-il pas ?
Une souris Diiiiiiiior...

Si t'es un mec on s'en fout, t'auras qu'à l'offrir à ta nana, femme ou maîtresse. Tu verras comme elle sera heureuse...

 

Bon allez, on y va.

Mon pire moment de honte sur ma face... Que même aujourd'hui j'en rigoule encore dans le dedans de moi-même...

 

Quand je travaillais dans les Telecom, on était que 20 filles pour environ 200 mecs.

Et ça c'était vachement bien...

Même que pour le 8 Mars, not' coupain Sacha adoré il nous offrait une rose.

Des vraies princesses.

 

Des princesses frustrées surtout.

 

Tu t'imagines toi à travailler en face de tant de force vive sans pouvoir y toucher ?

 

Enfin... 

 

Je voudrais pas dire, mais y en a qui touchaient... Même qu'ya une gonzesse qu'était mariée et fière de l'être, et ben on l'a retrouvée dans le stock en train de "téléphoner" à un collègue...

 

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Allô ?
Copyright "Pierre & Gilles"

 

Bref, c'était pas ça que je voulais te dire.

 

Cette société c'était un truc qu'appartenait à des riches z'Américains.

Et comme les z'Américains y aiment bien contrôler tout ce que font les Français, et ben régulièrement ils nous envoyaient des gens de chez eux.

Là, en l'occurrence c'était pour le passage à l'An 2000.

Rappelle-toi, tous les médias avaient grave psychoté en disant que le 31 Décembre 1999 à Minuit, et ben ya tous les systèmes informatiques qu'allaient sauter et que ça allait être un gros bordel passqu'y aurait un bug mondial, que tous les ordinateurs deviendraient possédés, méchants, fous, et tout et tout.

 

Alors pour éviter de payer un désenvoutement des z'ordinateurs, les gros z'Américains y nous ont envoyé des tas de gens de leurs équipes d'informatique. Des gens super doués et qu'étaient capables de te décortiquer un ordinateur et de le remonter rien qu'en soufflant dessus.

Ya 10 types en costumes qui sont arrivés. Et chacun devait s'occuper d'une vingtaine de personnes.

 

Et moi, chuis passée dans le bureau de l'assistante du Président du monde, pour lui demander une gomme.

En fait, nan, c'est passque je suis rien qu'une 'tite vicieuse, et que j'avais remarqué depuis 2 jours que l'un des informaticiens était franchement très très urbain...

Des z'yeux bleus et des dents blanches et tout et tout.

 

Alors je remets mon protège-slip en place, je me refous un coup de gloss pour mieux affronter l'adversité et je demande à ma collègue si elle a une gomme.

Et cette pouffe elle me répond pas...

Normal, elle était occupée à baver sur l'informaticien.

J'y redemande : tu sais pas où que je peux trouver une gomme ?

Elle me répond : dans ton cul.

 

Pendant ce temps-là, à Véra Cruz, le sexy-informaticien il fourgonnait toujours dans le pécé de ma coupine.

Et vu le filet de bave qui coulait de sa bouche, j'ai compris que ma gomme je pouvais me la carrer où je pensais.

 

Je m'apprête à repartir et v'là que l'apparition divine s'adresse à moi en English : Mademoiselle, quand j'aurai terminé avec le pécé de votre collègue, je viendrais vous voir. Je pense mobiliser votre ordinateur pendant une petite heure.

Alors, super fière de ma science, j'y réponds toujours en Anglais : ok no problem, whenever iou want, gna gna gna, and I have in ze biloutes iou know !

 

Et là je rajoute en Français à ma collègue : de toutes façons, il peut lui faire ce qu'il veut à mon ordi. Avec des yeux et un sourire pareil. S'il veut même me décortiquer moi aussi, ya aucun problème.

Ma collègue répond : moi je suis prête à passer sous le bureau...

Je dis : il me fait complètement craquer, même pas il a besoin de me demander la permission. C'est où il veut, quand il veut pour la galochade !

 

Et là...

 

Le type me répond...

Dans un Français plus que correct : Merci beaucoup...

Avec un petit clin d'oeil...

 

Tu visualises une glace qui fond d'un coup en plein soleil ?

 

Ben voilà.

C'était moi.

Une flaque...

Une limace...

Un truc tout mou. 

 

J'y dit : euh... D'où iou parlates Français vous ?

Lui : depuis que je suis jeune...

Moi : mais euh.... Pourquoi que vous l'avez-vous pas dit plus tôt ? Ca fait 2 jours que vous êtes là !

Lui : comme ça.... Oeillade de braise... Ca permet de comprendre les choses discrètement...

 

3 jours plus tard on s'est roulés des pelles tout en haut de la grande roue de la Place de la Concorde...

 

Mais avant, j'ai bien du bouffer ma honte et me cacher dans mon bureau... Je voulais pas lui parler... Et lui à chaque fois qu'il repassait devant mon bureau, il rigoulait.

 

Quoique... J'hésite aussi avec ce grand moment de honte...

Cette magnifique phrase sortie de ma bouche si délicate...

Attention, c'est de moi, Sonia, toute seule et personnellement :

Moi, avant, je travaillais avec 2 Verges !

(au lieu de Belges...)

 

A toi maintenant !

 

 

Commentaires

  • Ouhou, j'ai frétillé dans le dedans de moi-même en lisant, tellement j'étais génée pour toi ! Mais ça finit bien alors c'est une demi-honte :-)
    Et puis sinon, bah ça arrive d'avoir besoin de téléphoner à un collègue :-) J'adore l'illustration !

  • y a pas de quoi avoir honte dans ton histoire, au contraire ça a bien fini ! Je trouve que tes paroles enflammées ont même ajouté du piquant à votre aventure !
    je suis attiré par les américains aussi, quand ils ne sont pas obèses, ce qui est assez rare de nos jours...
    pour ma part je ne sais pas quelle est la plus grande honte de ma vie, ou alors je ne m'en rappelle pas... je n'ai pas l'impression d'avoir vraiment eu trop honte quelques fois...

  • mouahahaha!!!
    00.27, j'ai taffé toute la journée, mes yeux se fermaient petit à petit sans que je ne m'en rende compte moi-même...mais BINGO !!! ça les a réouvert d'un coup là !^^
    au moins ça reste une boulette mignonne...(et apparemment ça s'est plutôt bien terminé ;-) )

    voyons voir...ma plus grosse honte ?
    oulàlà y'a des bons dossiers...

    un au hasard...

    euh...ah si, çui-là !^^
    sortie en boîte avec une petite troupe d'ami(e)s, on s'échauffe un peu, on danse, on boit un verre, deux...
    et je ne tiens PAS DU TOUT l'alcool
    résultat, je repère THE beau mec entouré de copains à lui sans doute (et aussi de quelques nanas accrochées à ses pieds, le filet de bave qui va avec bien sûr...=S)
    ni une ni deux, l'alcool aidant, je m'approche délicatement (ce qui, pompette, aboutit à une démarche un peu hésitante) et là... BOUM BADABOUM
    ("oups...mais pourquoi y'a uneeeu marcheeu iciii?" *hic*)
    ben voui, maline que j'étais, j'avais pas vu la marche, et m'étais écroulée en plein milieu de tous ces danseurs chevronnés et échauffés, qui, eux, étaient sobres...
    il va sans dire que mes ami(e)s, derrière, se bidonnaient comme les gondoles de Venise...
    =(

    ps: ça fait 3 ans, et on me le rappelle à chaque fois qu'on sort... c'est-y pas malheureux...^^

    bonne nuit en tout cas !!! ;-)
    (je sais pas trop si j'ai eu raison de poster un commentaire, m'enfin...=D)

  • Oh mais c'est tout mignon comme honte ça ! En plus tu as fini par conclure, bien joué !
    Moi là tout de suite ya rien d'intéressant qui me vient niveau honte...

  • Note le bon côté du truc. Si ca se trouve, jamais tu n'aurais osé lui dire qu'il te plaisait. Là il a su et bien su.

    Moi donc. Du classique.
    Vers mes 18 ans (il y a deux ans donc) je m'habillais très très bien.
    Une micro mini jupe
    des chaussures à talons compensées de 15 cm de haut
    des bas qui tiennent tout seul
    et un haut transparent avec un soutien gorge rouge en dessous
    Bref classe.
    Un matin, je rentrais d'une folle nuit de révisions studieuses et toutes les voitures me klaxonnaient. "mon charme naturel" me dis je.
    Jusqu'au moment où un passant m'a fait remarquer que ma jupe avait opéré un mouvement ascendant et que j'étais donc en culotte et bas dans la rue.
    Pile poil devant le lycée catholique où je suivais de brillantes études.

  • Ah oui ! C'est de la teu-hon qui éclabousse la face ça...
    Thanks God, tu as conclu avec bombasse man, donc la dignité est restée sauve. On peut même dire que c'est la classe au final.

    Par ailleurs, le DTC du jour m'a fait mourir de rire. Bien placé celui-là ! Et fort à propos !

  • Moment de loose totale. J'avais préparé ma liste de questions pour l'interview de Rupert Everett, et j'avais ajouté une connerie entre parenthèses à l'usage exclusif de mon collègue journaliste, qu'il le lise avant, une joke entre lui et moi. Ca donnait ça :

    - Rupert, vous croyez encore à l'amour ? (après tout ce que vous avez sucé)

    Je pose la question à Rupert, il réfléchit, répond et, alors que j'enchaîne, s'empare de ma feuille en la lisant lui-même...
    - Mais qu'est-ce que vous avez écrit en tout petit, voyons, je ne vois pas de là ? "...Après tout ce que j'ai sucé"... Oye... Charmant, merci. La grande classe, Ron.

    Et il me fixe froidement de son regard sublime, me carbonisant en un instant. Je deviens rouge pivoine, bredouille et renverse mon Coca partout. Je classe ce moment number two dans le top 5 des plus grandes hontes de ma vie. SHAME SHAME SHAME !

  • "Faut que ça danse" le titre d'un film sur une affiche de Paris, novembre 2007

    Qu'est ce que j'ai envie de lui, l'histoire est bancale, la complicité intermittente je pleure dès qu'il s'en va, tout est compliqué, il me traîte par dessus la jambe, mais je l'aime, qu'est ce que je l'aime

    La soirée s'est bien déroulée, je n'ai qu'une hâte, arriver chez, lui, l'embrasser, sa langue, sentir son souffle sur mon cou, ses mains, sa peau, mon ventre brûlant qui l'enserre, deux mois qu'on ne s'est pas vus, je ne pense qu'à ça, je l'ai dans la peau, de partout, il n'y a que lui, je ne vis plus. On sait qu'on va faire l'amour, il sait à quel point j'en ai envie, on n'en parlera pas de la soirée, de ce désir latent, bien plus de mon côté que du sien.

    Il conduit, pas un bruit dans la voiture, il m'impressionne, je le trouve beau quand il conduit, son profil, son nez, ses mains sur le volant, je suis bien, on est détendus, comme rarement, et moi qui m'écrit presque "faut que ça baise ?!!" en lui montrant l'affiche du doigt

    Ma gêne est immédiate, j'ai fait le plus beau lapsus de ma vie, en lisant l'affiche de trop loin et trop vite, myopie aidant, envie de disparaître, le siège de la voiture m'aspire, coup de sang, rouge, honte

    Il ne relève pas, poli, ne voulant pas me gêner plus (ce qui est pire, finalement) et j'essaie tant bien que mal de parler rapidement d'autre chose, mais c'est trop tard, je ne suis qu'une truie pleine de désirs pervers à côté de cet homme qui ne sera jamais amoureux de moi

    "faut que ça baise" .....

  • La plus grosse honte n’est pas nécessairement drôle, non ? Enfin la mienne ne l’est pas, elle est légèrement pathétique, voir plus, m’enfin !
    C’était y’a bien longtemps, juste après mon divorce, j’étais un jeune papa un peu déprimé et légèrement débordé aussi et ça faisait quelques jours que je traînais mes pompes cet été là, pas moyen de me bouger le cul.

    Pour faire plaisir à mes deux gamins je leur avais promis de les emmener à Walibi, depuis le début de l’été, mais seulement promis.. et en papa complètement faux cul je reportais chaque jour la promesse, jusqu’au jour ou nous avons croisé en ville leur maîtresse d’école primaire qui demanda aux enfants si les vacances se passaient bien, et tout, et tout... J’entends encore la réponse de mon fils comme si c’était hier.. « Ben nous on a failli aller à Walibi ! » Là la maîtresse m’a lancé un regard que je ne suis pas prêt d’oublier aussi, puis quand même un petit sourire qui voulait peut être dire « ben voilà, vous savez ce que vous aller faire demain ! »
    Voui effectivement, je le savais, mais je savais aussi que je ne pourrai plus jamais avoir autant honte de ma vie depuis ce jour là.. et c’est le cas.

    Voilà, tu vois c’est pas drôle, mais c’est la vie ;) Biz

  • mouarrrff !
    :-)
    je dois faire du déni c'est pas possible, je me rappelle pas avoir vécu ce genre de galéjades.

  • Moi je vote que le pire moment de honte de ma laïfe, c'est si je reçois ta souris Dior ... Oh-My-God quoi.
    Plus bling bling, tu meurs.

  • Bonjour Sonia,

    Premier com sur ton blog que j’adore et pourquoi ?? pour raconter ma plus grande honte !
    J’avais 11 ans et étais en colonie de vacances avec la grande joie de commencer mes premières périodes de ragnagna qui quand on a cet âge, ne sont pas forcément très prévisibles.
    Donc, un matin en me levant je constate que des petits soucis me sont arrivés pendant la nuit, ni une ni deux je me dis : pas grave je vais faire tremper ma petite culotte dans le lavabo jusqu’au soir et hop.

    La suite est une horreur, j’ai 41 ans et je m’en souviens encore comme si c’était hier, le midi au réfectoire avec plein de grumelles et grumeaux une salope de monitrice arrive en tenant à la main ma petite culotte trempée et se met à hurler en demandant à qui elle appartient.
    Je te laisse imaginer le moment de solitude terrible quand ces cons de gamins se mettent à ricaner….. Je ne raconte même pas ce que j’ai enduré la suite du séjour. …
    voilà
    Bisous et merci de me faire rire chaque jour avec tes histoires

  • Il faudra que tu nous expliques (à nous pauvres mortelles) comment tu as réussi à retourner la situation aussi bien et à te retrouver avec le bogoss 3 jours plus tard à vous rouler des pelles...

    Ma plus grande honte : fastoche : entretien pour un stage que j'avais eu par le Bureau des anciens élèves de mon DESS - je crois également que mon prof avait appelé le recruteur pour lui dire tout le bien qu'il pensait de moi.
    Bref, l'entretien se passe sans problèmes et j'essaie de distiller une aura de compétence et d'efficacité.
    Le recruteur me propose ensuite gentillement de m'inciter à déjeuner à la cantine du groupe afin que je reprère les lieux (je tiens à préciser qu'il n'y avait AUCUN sous-entendu) : je prends un plat et un yaourt.
    Arrivée au yaourt, alors que j'avais fait bien attention pendant tout le repas à bien tenir mon couteau et ma fourchette, prise dans l'élan de ma conversation, je prends l'opercule du yaourt et le lèche comme à la maison !!!
    Le recruteur a souri, je suis sortie rouge comme une tomate...
    Je n'ai osé l'avouer qu'à ma meilleure amis qui m'a dit - la garce - qu'elle me le ressortirai le jour de mon mariage afin que mon futur mari sache à quoi s'attendre !!!

  • Hello !
    Alors pour moi la dernière en date ...

    Depuis pas mal de temps, j'ai pris l'habitude de prendre dans ma wature une chemise de rechange au cazou (ben des fois je visite des ateliers et des fois c'est un peu cradingue ... mais bon c'est des pas ateliers de mode ou de luxe ;) ) Bref, depuis que je suis sur mon projet actuel, ben je suis toujours en bureau, donc plus de change.
    Le mois dernier, big réunion. Big de chez big hein !!! Pas la petite réunionnette des familles !! Prévue pour l'après midi.

    Bref, on part pour déjeuner. Tout le monde est conscient de l'enjeu.

    On zappe le plat de nouille en sauce, on évite les ficelles traitresse de paupiette qui peuvent tâcher ...
    Enfin tout se passe bien ...
    Jusqu'au dessert.
    Au yahourt nature pour etre plus précis.

    Je remarque que comme une nouille j'ai pas pris de sucre.
    Ni une ni deux je me rends au distributeur de sachet. A ce moment je me rends compte que j'ai oublié ma petite cuillere.
    Je jette négligeamment les sachets sur le plateau et vais prendre ma petite cuillere.

    De retour à ma place, je pose ma petite queue.

    Et vous savez ce qu'on fait tous quand on a un sachet de sucre. On le prend et le secoue pour mettre la poudre au fond du sachet avant d'ouvrir ... histoire de pas en mettre partout. Donc acte.

    Et là tout le monde se marre. Sauf mon voisin d'en face. Mon n+2.
    Je regarde les autres d'un air interrogatif, suis leur regard et vise ma chemise.

    Mouchetée.
    De bas en haut.
    Mon chef pareil. La Honte. Avec un H. Avant la réunion avec la direction. Et rien pour se changer.

    En fait, le cuistot a foutu de la sauce avec sa cuillère SOUS mon assiette, hors de ma vue. Les sachets que j'ai jetés ont trempouillé dedans le temps que j'aille cherche ma cuillère et ... vous devinez la suite.

    Pour finir, la réunion s'est bien passée. Seulement j'avais comme l'impression que tout le monde matait ma chemise.
    Peut être juste une illusion ?

  • Morte de rire !!!! Mais ça c'est bien terminé pour toi et puis il y a pire !!! J'ai déjà raconté une de mes grande honte chez toi : LA VACHE ESPAGNOLE !!! Bien sûr, j'en ai d'autres........ En particulier, un grand moment de solitude dans un lieu branché..... Celle-la aussi était mémorable mais je ne dirais rien !!!

  • Lol! Bon moi la plus grande honte est la suivante (je ne l'ai jamais racontéeeeee)

    Dans mes périodes je me prends pour une bombe et je veux ressembler à une star du RNB, je m'habillais et me coiffais un peu n'importe comment!
    Dans ces conditions je rencontre un mec, mais vraiment la bombe sexuelle de la fac !
    On se tourne autour, j'arrive à le séduire et on se donne rendez vous un soir pour faire connaissance en profondeur....
    Je passe la journée à réfléchir comment je vais m'habiller et surtout comment me coiffer !
    j'avais les cheveux dans un état lamentable et je voulais coûte que coûte ressembler à Left Eye des TLC et pas de coiffeur en vue !
    J'opte pour une solution radicale et je me sens fin prête pour la soirée !

    Du coup pendant tout le repas je souriais bêtement et n'avais quune hate paser à l'acte enfin !
    Une fois chez lui dans une position très hot (je vous passe les détails) et après moults embrassades et autres je vois monsieur qui se fige et me regarde d'un air surpris !

    Je ne comprends pas !

    je mets ça sur le coup de l'excitation !

    Quand voyant que je ne comprends pas ce qui se passait il me dit "je crois que tu as perdu quelque chose ! regarde sur le lit !)

    Et qu'est ce quil y'avait là devant moi sous les yeux de moi

    Ma perruque !

    Eh oui pour ressembler à Left Eye j'avais mis une perruque pour me la jouer femme fatale ! sauf que ben la perruque n'est pas recommandée pour des situations hotesques comme ça !

    Du coup je me suis retrouvée con avec mes collants sur ma tête (pour retenir mes vrais cheveux) et complètement à poil !!

    Je vous laisse imaginer la scène !!

    Honte mais quelle honte

  • Allez je m'y colle, j'ai besoin de cette souris de Barbie Sonia, entends ce message subliminal...
    Donc ma honte vraie de vraie,
    Premier rencard avec Lui, il est beau, il est grand, il est intelligent, je suis amoureuse en 2 mns !
    Nous voila chez le Japonais, j'y vais environ une fois par semaine depuis des années, tout va bien en général sauf que là, mes sushis ont volés dans tout le restau.
    J'ai honte, il y a du riz partout...
    Bref je remet du gloss et bats des cils ça fait diversion...
    La fin du dîner arrive, pour faire la gentille je lui propose un bonbon (surtout pour le roulage de pelles aprés c'est mieux !), je fouille dans le fourbis de mon sac, je cherche, je cherche et soudain je fais voler toute la table.
    Une splendide sauce au poisson (hyper odorante), se déverse partout et principalement sur ma robe.
    J'ai vraiment honte cette fois !
    Je m'excuse pitoyablement, me lève et vais tenter de nettoyer tout ça au WC et surtout de camoufler cette odeur de hareng pourri !
    Je prends du papier toilette, je le mouille et je frotte ma robe.
    En voila une idée qu'elle est bonne, ma robe est noire ... et en laine...
    Je me retrouve donc affublée d'une robe qui pue la morue avec des traces de PQ partout.
    Je sors des WC, la tête haute craignant qu'il n'ai quitté le restau.
    Il est encore là, je blague un peu, du moins je fais semblant pour contenir ma honte.
    En sortant du restaurant, juste devant la porte une flaque d'eau, je glisse et manque de m'étaler de tout mon long, heureusement Monsieur me retiens et je commence à rire car la situation est de plus en plus grotesque.
    En me raccompagnant au métro nous passons au dessus d'une plaque soufflante, je me retrouve en slip à Opéra, ni une ni deux la honte est à son apogée.
    Il ne m'embrasse pas évidemment, une bise fera l'affaire.
    Je rentre chez moi confuse, honteuse et effrayée par toute cette poisse.
    Le lendemain soir alors qu'il m'appelle pour me demander de sortir, j'ai du lui dire ce qui m'était arrivé dans la journée.
    J'avais pris un cycliste de front sur un trottoir et j'étais pleine de contusions et autres bleus en train de me morfondre chez moi.

    Voilà comment à démarré notre histoire d'amour, un mal pour un bien je crois, c'était il y a presque 2 ans...

  • En même temps les deux verges, c'était juste en face de moi la première fois qu'on se rencontrait...t'aurais-je autant aimée si tu ne m'avais pas sorti ça pour ensuite partir dans un fou rire grandiose et te moucher dans ta serviette (en tissu !!!) au restaurant ???
    On ne le saura jamais !

    Sinon c'est un peu ma spécialité les grandes hontes comme ça, mais là je ne me souviens pas de tout, enfin quand même l'autre jour dans la rue je vois une vieille connaissance avec sa mère et deux autres mecs, devant une boutique de meuble en train de charger des trucs dans la voiture, je fais la bise à tout ce petit monde en demandant à chacun comment il va... Les deux mecs me regardent, l'air ahuri... C'étaient juste des vendeurs du magasin.

    Ah et puis hier aussi, j'allais récupérer ma voiture sur un parking gratuit, un charmant jeune homme en golf noire s'arrête à mon niveau, ouvre la fenêtre ''bonjour mademoiselle, excusez moi de vous demander ça comme ça mais... je peux vous suivre...''
    Moi, je m'offusque ''mais comment ça me suivre nan mais ça va pas la tête nan mais les gens c'est pas possible ''
    C'est alors qu'il ajoute ''vous suivre pour prendre votre place de parking.''

    AHEUM

    sinon c'est bientôt mon anniversaire tu le savais ? Tu viens me le souhaiter héhéhéhé ?
    gros bisous

  • Je me suis enfermée dans les toilettes publiques d'une gare et le nettoyage automatique s'est mis en route. Et Pau-Rennes avec le pantalon trempé au mois de novembre, c'est trèèès long ! Et mon mec du moment s'est bien foutu de ma gueule tout le trajet.

    Sinon y'a aussi la fois où je visionnais un diaporama bien crade envoyé par ma soeur et où le directeur de thèse de ma meilleure amie a débarqué au moment où il y avait un énorme bruit de pet. Je ne sais pas si ça a un rapport mais elle s'est faite laminer lors de sa soutenance.

    Bisou Soso.

  • allez, la dernière en date...

    en arrivant le matin dans le hall de la boite, le nez dans mon journal, je me rends compte que j'ai omis de serrer la main d'une connaissance - hop ! volte-faïce en rajoutant "oh excusez-moi" - je lui serre la main... je lève les yeux... et... me rends compte que... je n'avais jamais vu ce gars de ma vie !!!

    j'ai bredouillé une excuse complètement incompréhensible et suis partie en me cachant la tête dans mon journal alors que tout le monde commençait à me jeter des pierres...

    alors non seulement ce gars m'a pris pour une grande malade (c'est sûr) mais le pire c'est que je tremble chaque matin de le rencontrer à nouveau...

  • Il y a bien longtemps, une éternité, quand j'étais étudiante, on se faisait souvent refouler des boîtes de nuit lyonnaises, parce que mes copines et moi avions l'air trop jeunes (et avec le recul, soyons honnêtes, nous l'étions, trop jeunes).

    Un soir, je décide de mettre le paquet, histoire de mettre toutes nos chances de notre côté face au physio. Pantalon blanc moulant, mules noires avec des talons immenses (oui, en 1997, c'était à la mode les mules) alors que je mesure déjà 1m76, là je culminais à 1m86 je pense, haut noir largement décolleté, et bien entendu, un bon platrage du visage, rimmel en grosses couches, rouge à lèvre carmin, la TOTALE.

    On arrive devant l'objet de notre convoitise, la boîte de night, et on s'enfile dans la queue (c'est une image). Lorsque nous nous présentons devant le physio, ils toise le groupe de minettes, et comme d'hab' fait non de la tête. Puis il m'aperçoit, et semble changer d'avis. Et là, devant mes meilleurs amies, en me désignant du menton, il sort : "Nan, les filles, vous vous rentrez pas, par contre, le trav', là bas au fond, il peut".

    Autant dire, te faire traiter de travelo, à 18 ans, et avec tout le respect que je porte à ces personnes, devant toutes tes amies, c'est le genre d'humiliation dont tu te remets difficile. Par contre, depuis, j'y vais mollo sur le maquillage .... :D

  • Le coup de l'américain est mi-gênant mi-émoustillant en fait ;)
    J'hésite entre deux histoires, mais c'est juste pour le plaisir vu qu'une souris Dior serait très très malheureuse avec mon pc de gueuse tout incrusté de miettes et de poils de chat.

    Un jour avec mon chéri, on a payé 2 dollars et demi le transport dans un genre de petit car et les services d'un interprète pour aller voir un temple dans la campagne vietnamienne. Pour ce prix-là on ne s'attendait pas à avoir des sièges en velours, tant que le machin roulait c'était suffisant. Sauf que dans le car il y avait une autre touriste, espagnole, qui était manifestement scandalisée. Elle n'arrêtait pas de se plaindre à l'interprète (en anglais) et que c'était scandaleux et gnagnagna. Elle a même exigé qu'il essuie la vitre de son côté pour qu'elle puisse mieux voir le paysage (!) On était soufflés et, en bonnes langues de vipères de base, entre nous mais à voix haute on rhabille la dame pour tous les hivers jusqu'en 2012 pendant tout le trajet.
    Evidemment, à la toute fin de la journée, on a compris qu'elle était polyglotte. "Aurevoir", qu'elle nous a fait avec un grand sourire.
    (Bon elle était tellement odieuse qu'on s'est pas plus sentis coupables que ça, mais maintenant on fait trèès très gaffe en voyage ;)

    La deuxième fois, encore plus honteuse, est très récente. L'autre jour, j'avais une pause entre deux cours. Comme il était midi, qu'il faisait froid et moche, je décide d'aller déjeuner au chaud dans un ciné. Confortablement installée dans le noir, je finis par déboutonner mon jean complètement pour être plus à l'aise (oui, je sais...)
    Au bout d'un moment le film se termine, je suis très contente, repue et heureuse.
    Quand la lumière se rallume, je me lève et m'étire longuement, largement, nonchalamment, en toute insouciance.
    Soudain, quelques rangées devant moi, un groupe de personnes tombe en arrêt. Je les entends faire "oh" en me voyant puis ils se mettent à pouffer.
    Et là, le souvenir horrible de ce que j'ai fait 2h plutôt s'insinue en moi: oui, j'avais la braguette grande ouverte, la culotte en goguette à la vue de tous.
    Je préfère même pas savoir ce qu'ils ont pensé. Je suis devenue aussi rouge que mon siège, me suis ratatinée sur celui-ci, pulvérisée de honte, et j'ai rassemblé trèèès lentement mes affaires histoire de laisser tout le monde sortir.

    Et oui, la classe incarnée.

  • j'ai beaucoup aimé la honte que tu nous racontes

    bon je réfléchis et je te rappelle là je passe sous un tunnel

  • Ouais, le plus important c'est de conclure, après tout.


    Pour ce qui est du gagnage de la KitschyMouse, voilà la première anecdote qui me vient à l'esprit :

    Je donnais un cours individuel à un gars dans une société, pis il me demande un cd d'exercices. Je lui dit "à la fin du cours, venez avec moi jusqu'à ma wature, j'en ai peut-être un".

    On va jusquà la wature, donc, j'avais une caisse avec des livres et tout et tout pour mon cravail dans le coffre, et donc j'ouvre le coffre, on discute avec le gars, je prends le premier livre sur le dessus et commence à fouiller le coffre. On discute, et vu que je suis du genre à mouliner des bras quand je discute, je lui mouline le livre sous le nez pendant trois plombes. A un moment, je vois bien que je n'ai pas le cd dans le coffre. Alors je dis "bon, ben tant pis, vous en apporterai un au prochain cours alors". Et je me penche pour remettre le livre sur le dessus du coffre.


    Et là, je vois que ce livre, c'est un truc du genre "dynamisez votre baise-age" ou quelque chose du même acabit. Je suis restée quelques secondes la tête dans le coffre à espérer que la terre s'ouvre avant que je ne doive me relever. Est-ce que je dois dire la vérité ? Càd je ne sais pas du tout d'où vient ce livre, c'est po à moi, etc. Ou est-ce que c'est encore plus pathétique? J'opte pour le fermage de gueule, me relève, et prend dignement congé.


    Les 40 heures de cours individuels ont été très dures pour moi. Le fait que mon cher et tendre actuel, 5 ans plus tard, bosse avec ce stagiaire, n'est pas pour arranger les choses. Je n'ai toujours pas osé aborder le sujet.



    Et pis, pour ne pas vous laisser sur le mystère de d'où que c'est donc qu'il venait ce livre, et ben c'est un pote à moi qui a un sens de l'humour exquis qui me l'avait "offert". A l'insu de mon plein gré.

  • Salut Sonia, je te lis avec beaucoup de plaisir dans le dedans de moi-même depuis quelques mois mais c'est la première fois que je poste...

    Donc voici la plus GRANDE honte de ma vie, qui date de pas si longtemps que ça... un an et demi je dirais...

    Alors... J'étais très très amoureuse d'un super beau mec demi-asiatique aux yeux magnifiques... enfin bref. Il faisait partie de mon groupe d'amis, et on sortait souvent ensemble, mais jamais à deux. Après des longues débats avec une copine, je me décide à lui envoyer un SMS... "ça te dirait d'aller boire un verre" ? J'attends un demi-heure... pas de réponse... puis j'écris un autre SMS... "ce con il me répond même pas..." destiné à ma coupine... seulement... je m'étais trompée de numéro... je l'ai envoyé à mon beau chinois :-/

    Bisousssssss

  • Premier comm sur ton blog mais comme je me suis tapé l'affiche (un peu comme serendipity plus haut) ce we c'est encore bien frais : week-end avec mon amoureux tout neuf, nous parlions de chirurgie esthétique (sais plus pourquoi !?) et je lui explique en anglais que ma soeur a été opérée du nez suite à un accident et que de fait elle me conseillait de ne jamais me faire refaire le nez (nose job) parce que "BLOW job is really painful"... j'en ai rougi de honte (à 28 ans quand même) quand il m'a dit en se marrant que c'était une question d'angle d'attaque...
    Crois le ou pas chère Sonia, j'ai pensé à toi en remettant du gloss parce que comme tu l'as déjà dit, parfois c'est la seule chose à faire !

  • C'était lors d'un joli moi de septembre. Je promenais mon nain au parc.
    Tout à coup, au loin, un visage m'est familier ... Mon mari me reproche tout le temps de ne pas calculer nos connaissances respectives dans la rue, de ne pas les saluer et m'engueule régulièrement ... C'est pas ma faute, souvent j'ai la tête ailleurs !
    Pour dire un jour au supermarché, j'ai pesé mes bananes à côté de ma mère, sans la reconnaître ... elle était sur les fesses !
    Bref, revenons à nos endives au gratin, j'étais donc au parc et là, je me dis intérieurement que je vais mettre un point d'honneur à saluer la personne comme une gente dame.
    Je reconnais en fait vaguement une ancienne collègue de mon mari, avec qui on avait fait une soirée boulot. Elle se rapproche, me sourit, bingo, c'est bien elle.
    Je m'approche à mon tour, je lui claque la bise et là, je lis comme une stupeur étrange sur son visage. Je sors trois banalités, elle me répond, je descend mes yeux et je vois qu'elle pousse une gamine sur un vélo, je réfléchis : je ne connais personne qui a une enfant de cet âge. Je prends congé dignement et je m'éloigne ... piteuse ...
    Putain, mais à qui donc ai-je claqué la bise comme si je la connaissais depuis les calendes grecques et qu'on avait gardé les masupilamis ensemble ????? Mon front commence à perler de sueur, je me concentre ... je commence à sentir les terribles affres de la honte m'envahir, le rouge me monte aux joues ...

    BORDEL DE PUTAIN DE MOI-MËME : j'ai fait la bise à ma ....


    .......

    ......

    ........


    PHARMACIENNE !!!!!!!!!

    Voila, tu l'auras compris, j'ai du faire un détour de 5 kms pendant des années pour m'acheter ma crème hémorroidaire dans une autre pharmacie plutôt que dans celle qui était à 20m de chez moi ...


    Une autre, c'est cadeau c'est bonheur (mon fils avait 10 mois ... il a 6 ans maintenant ... bien c'est toujours aussi vif de honte). Je sors donc de mon appart avec mon sac à main, le sac de nounou de mon nain et mon fameux nain de 10kgs sur les bras. Bref, un bonheur, autant essayer gracieusement de porter 3 enclumes. Je rentre dans l'ascenseur tant bien que mal. Je soufflette comme un bovin qui aurait taquiné un 100m. Et ô rage, l'ascenceur stoppe au 4ème. Un voisin-ami rentre, me tape la bise et nous descendons. Au RDC, il sort et me souhaite une bonne journée, le sourire aux lèvres et en sortant, je m'aperçois que ma chemise sous le poids des divers balots que je me coltine, a cédé au niveau du poitrail !!!!!!
    Je me retrouve donc à 8 heures du mat', dans le couloir de ma résidence, les nichons à l'air et les bras pris. La vie est une pute qui pue des pieds parfois !

    Voilà c'est pour toi ma belle ... Et surtout motus, c'est déjà assez lourd à porter !
    Je suis maître poissasse deuxième dan !
    La tienne est mignonette surtout si tu as fini par lui en rouler une quand même !

  • Oui ben Princesse Sonia, laisse béton direct les autres commentaires et concentres toi bien sur le mien rapport que dans le genre honte y a pas photo chuis trop balèse. Pis surtout suis grande fan de Dior, pis mes copines sont grandes fan de Dior aussi, pis j'en ai marre de tenter les réduc Verbaudet because BORDEL je suis une vraie femme moi et que 1) je kif le rose 2) je kif les souris 3) allezeuuuuu steuplé steuplé steuplé.


    En plus mon histoire elle a pile 1 semaine alors crois-moi c'est d'la fraîche celle là, que j'ai encore mal rien que d'y penser.

    Voilà donc c'était un jour de pas de bol. M'étais fringuée un peu blondasse histoire de euh faire parler de moi quoi (...) avec the fashion bermud' moulant BLANC et pis j'allais m'alimenter comme à mon habitude vers midi - midi trente genre l'heure de pointe à la cantoche du taf. Je dirais même plus genre l'heure où les 350 employés de ta boîte viennent se détendre le steack autour. Quand j'ai voulu emprunter les 2 marches et demi menant à la table choisie et que mon putain de talon (de certes 9 cm) s'est dérobé sous moi, m'envoyant valser directos 50 cm plus bas, les genoux dans les quenelles et la tronche dans l'assiette qu'à peine le visage relevé j'ai pu saluer la madame d'un big boss du coin et qu'à peine debout, crois-moi, j'les ai pas raté les sourires en coin des bô mecs qu'à la base j'espérai bien... bref.

    "Zout alors" me suis-je écriée (dans un langage plus incertain).

    Et que je suis repartie directement par là d'où j'étais arrivé et que mon seul soulagement a été de pouvoir me dire que sans dec, j'étais bien contente de pas avoir fait péter le string violet parce que là au moins, j'échappais aux commentaires genre t'as-vu-la-pétasse-qui-s'est-rétamé-que-c'est-trop-bien-fait.

    Merci mon Dieu.

  • Salut Melle de Ben couscous (MDR)

    DOnc ma honte a moi elle est intime:

    Avec mon ex on parlait tard dans la nuit au debut, normal, hein it's all sex and talking, sex and talking....
    Un jour il me parle il me parle, et moi je m'endors en souriant...charmant tableau...
    Mais comme j'ai un orgueil à faire palir Napoleon (enfin j'avais) j'ai fait style que j'écoutais quand même ses histoires de rollers ou ses théories sur les bienfaits du rap (eeeeeh oui, personne n'est parfait)..
    Je fais donc semblant d'écouter, ponctuant la conversation de "hum hum" peu convaincus, et comme je mélangeais mon rêve avec la réalité je lui répond "non mais pour ça il faut un guide, et de toutes façons on ne mangera pas de carottes (je rêvais d'un voyage a Venise et les carottes je sais pas trop d'où elles sortaient- DMC????)....
    Donc fou rire de l'homme qui me réveille, je ris aussi jusqu'aux larmes ....
    Eh bien on est séparés depuis 3 ans, il m'en parle encore....et sa mère aussi.....

  • Ben je crois que ma dernière en date c'est ma chute en tong à paillettes. Je me suis arrachée la goule et la fin du stage (ou fallait aller dans l'eau de mer, sur la chair à vif ça piiiiique) a été très délicat : la croûte molle et verte entre le nez et la bouche.
    Je précise que pendant la chute je donnais la main à un amoureux potentiel sur lequel je bavais depuis des semaines et qu'avant la chute, je venais de me faire lécher les bras par une bande d'Autrichiens en goguette. Le tout au bord d'un lagon paradisiaque.
    Comment gâcher ses vacances : une bonne cuite non maîtrisée. Bien sûr, ça me poursuit à chaque soirée et je n'ai jamais conclu avec l'amoureux.

  • Waouuuuu, y a de la honte dans les commentaires. Mais toi, je dirais que c'est de la triche, d'abord, parce que bon, c'est une gentille honte, ensuite parce que mine de rien, le mec, c'est quand même toi qui te l'ai emballé...
    enfin, je dis cela, je dis rien.

    De la vraie honte, je l'ai déjà raconté sur mon bloug, mais bon, désolée, c'est la seule que j'ai en stock et celle là, c'est de la vraie, de la 100% pure lose.

    En classe, je roupille ou rêvasse dans le fond depuis le début du cours, environ deux heures auparavant, suis complètement dans le coaltar quand le prof, s'en ayant sans doute aperçu, me pose une question.

    A l'époque, les élèves étaient des gentils enfants, donc on se levait pour répondre à un professeur, et on l'appelait monsieur ou madame, mais pas macoupime ou moncoupin.


    Je me lève.



    J'ouvre la bouche pour répondre.

    ...

    Interlignage (hey, t'as vu ?? je suis bonne élève hein ??)


    Re interlignage (oué, suis un peu fayote aussi sur les entournures).


    et là...



    là....


    ...

    ENORME ROT.


    J'ai flingué ce jour là tout espoir d'échange de gomme avec les beaux mecs de la classe qui m'ont tous pris pour leur pote sûre jusqu'à la fin de l'année.


    Bon, pour la souris, je t'envoie mon adresse, elle ira très bien avec mon bureau.

    En te remerciant.

  • Qu'est ce qu'on en a dans la vie, des hontes !!!

    Moi ma plus grande honte c'était quand je suis partie en Angleterre, dans le cadre d'un séjour linguistique.
    Juste avant de prendre le tunnel sous la Manche, le car qui nous amenait en Angleterre a fait une pause dans une grande station service.
    Comme on avait genre trente minutes de pauses et que moi ça me faisait chier de faire des magasins, bah j'ai trainé et rêvassé comme d'hab'...

    Sauf que en revenant sur le parking, que vois-je partir au loin ???

    Mon car...

    T'imagine même pas comment j'ai couru après le car... et que j'ai vu que TOUT le monde s'était mis derrière pour me voir courir... et bien se marrer (âge ingrât quand tu nous tiens..) !

    Et la scène a duré 5 bonnes minutes !!! Le car s'est arrêté que quand j'ai réussi à le dépasser à faire des gestes désespérés au conducteur !

    Alors déjà qu'à 12 ans t'es pas vraiment à l'aise dans ta peau mais là... ça m'a achevé pendant tout le voyage !!! Je te dit pas la honte interstellaire !!!!

    Sinon une petite honte sympa dernièrement : j'étais dans un bar et je me dirigeais vers la sortie quand tout d'un coup, je m'aperçois qu'un pur mâle est en train de me suivre du regard... alors je le regarde tout en continuant à marcher et... me prends une chaise du bar lorsque j'arrive à sa hauteur... j'ai failli faire un vol plané.

    Je suis sortie alors avec le peu de classe qui me restait ^^ !

    @ kinder addict : j'avais pas compris ce que c'était "blow job" (because my english is nul) alors je l'ai tapé sur google...bah maintenant je sais, mdr !!!

  • Hum, je me lance :

    Au bureau. A la pause café avec mes collègues féminines. En plaisantant, je me prends pour leur chef, pas merci, les traitant comme de la merde. Elles rigolent, moi aussi. Je lance à un moment cette formule (pas forcément la plus fine, mais on choisit pas) "de toutes façons, si vous voulez progresser ici, faudra passer sous mon bureau". Elles rigolent, moi aussi, mais elles encore plus.

    Parce que quelqu'un était dans l'encadrement de la porte.

    Le chef.

  • L'une des plus grosses hontes de ma vie :

    Mon grand-père était venu déjeuner chez nous, et comme à son habitude il arrêtait pas de remplir et re-remplir mon verre à table.

    Mon copain m'appelle vers 15h pour savoir si il peut passer et moi je lui sors "mais vouiiiiiiiiiiiiiii bien suuuuuur mon amuuur, à tute à l'heure!"
    je me rends bien compte que je suis carrément minable alors avant qu'il débarque je passe aux toilettes, je me remets le décolleté en place et j'essaie de faire bonne figure. Si ça se trouve j'ai même remis du gloss, je me rappelle plus.

    Il arrive, tout se passe bien, très bien même, je suis fine, spirituelle et tout bonnement ultrasexy (dans mes rêves), et en un mot comme en cent, il finit par décrocher ma cerise.

    Fatalement, ça m'a dégrisée, et toute guillerette, quand je me rhabille, je cherche mon string qu'il m'avait délicatement enlevé et j'y découvre une magnifique trace de pneus du plus bel effet !
    C'est clair que le protège string, là, il m'aurait bien servi...

  • Bon, voici mon grand moment de solitude :

    A l'époque et ce soir là, mon sens des responsabilités super aiguisé, a oublié de me signaler de mettre de l’essence dans la bagnole.Et je l’aime bien ma voiture de l’époque, même si elle est vieille et pourrie. Généralement elle ne me lâche jamais.
    Sauf que …

    Sauf que ce jour là, elle est VRAIMENT en manque d’essence, du coup elle me fait la gueule, et elle décide donc de tomber en panne à moins de 200 mètres de la station service !

    Ma jupe, mes tongs et moi nous retrouvons donc en rade, super proches pourtant de la destination voulue.
    Du coup, pas le choix, je descends de la bagnole, portière ouverte, et je pousse la voiture sur la route, direction le sans plomb.
    Tout allait très bien, au départ, tant que la route était bien plate.
    Ca a commencé à sentir le roussi quand la pente douce qui allait jusqu’à la station a pointé le bout de son nez, c’te conasse !

    J’ai donc accéléré le pas, la tong à diams résisterait-elle longtemps ?
    La vitesse allait-elle véritablement augmenter ?
    Allais-je trouver une solution AVANT d’arriver à la station ?
    Arriverai-je à remonter dans la bagnole au moment fatidique, comme dans Starsky et Hutch ?
    Je suis ridicule là tout de suite, en train de courir à côté de ma caisse ?

    Tant de questions, auxquelles sur le moment je n’avais pas de réponse.
    C’est quand j’ai essayé de remonter dans la voiture pour freiner, que ce fut déjà beaucoup moins drôle.

    En fait, j’ai jamais vraiment réussi à remonter dedans d'ailleurs...
    Pourtant je suis souple ! Mais pas très cohérente dans mes mouvements...
    Ca a donc donné quelque chose dans ce genre :
    Moi, jambe droite dans la caisse à essayer de freiner, main droite qui tient le volant pour pas foncer dans le décor.
    Bras gauche qui tient la portière pour pas qu’elle se barre, jambe gauche pliée, au sol, qui traine derrière la caisse.
    Tentative désespérée de tirage de frein à main avec la main droite.
    Cassage de frein à main en bonne eu due forme.
    Tentative de freinage avec le pied droit.
    Jambe gauche toujours au sol, elle tente désespérément de remonter dans la bagnole elle aussi…
    Arrêt in extrémis devant le stock de bouteilles de gaz.
    Regard ahuri des gens autour.
    Pas un seul connard pour t’aider.
    Ma tong droite est décédée !

    Voilà.

    Ce fut un grand moment de solitude, je l’admets, mais heureusement j’ai réussi à m’arrêter.
    Au final, une fois stoppée, comme si tout allait bien, je me suis mise a faire le plein…
    Oui, même avec ma jambe en sang, mon visage en larmes, mes mains qui tremblent, et mon frein à main pété !

    Je suis remontée dedans dignement ensuite, et j’ai voulu rentrer discrétos.

    C’était pas si grave que ça finalement…
    Enfin, si j’avais soigné dignement tout de suite, ça aurait pu ne pas être trop grave…
    Ca c’est ce qu’on m’a dit à l’hôpital, deux jours plus tard. J’y suis allée parce qu’une fille du boulot ne supportait plus de m’entendre crier à chaque fois que je bougeais, et que la vue de mes orteils nouvellement sans ongles lui soulevait le cœur.
    Oh ça va hein, ça repousse !

    La dame Docteur à l’hôpital, elle m’a dit que c’était une brulure, comme quand les motards tombent de leur destrier.
    Elle a dit aussi que c’était vachement infecté, et que ça c’était pas cool… Et qu’il restait aussi des bouts de goudron.
    Dans mes poumons ? je lui ai demandé
    Non non cocotte, sur ta jambe, qui disons le, a triplé de volume, est verte et couverte de croutes purulentes.

    Pour faire simple et concis (il est temps non ?) :
    Ces gros cons de barbares tyranniques de l’hosto ont gratté ma plaie avec une espèce de brosse à ongles pour bien la nettoyer. (J’ai retenu leurs visages à vie), après ils m’ont mis plein de trucs pour soigner dessus, et après on m’a dit qu’il me fallait une infirmière à la maison tous les jours pendant 15 jours.

    Je me suis donc pliée à leurs exigences, et j’ai trouvé la première blaireaute venue, dans les pages jaunes.

    Au bout de plusieurs jours de traitement par ses mains boudinées, je me rends compte que ça va pas trop mieux.
    Suis toujours « jambe de sumo » et je commence même à devenir jaune…
    Pas normal, doit y avoir un truc qu’elle fait pas comme il faut c’te conne !

    Un matin, une autre collègue de boulot, celle qui m’emmenait bosser tous les jours du coup, me chope en traitre et m’emmène encore à l’hosto.

    Ben c’était la même dame Docteur dis donc !
    Et elle a pas trop compris pourquoi je revenais à vrai dire.

    Alors je lui ai expliqué que l’infirmière elle utilisait pas les produits qu’on m’avait prescrit à l’hôpital, mais que comme elle avait travaillé chez les grands brulés, elle était sure que c’était mieux.

    Ben la dame Docteur elle s’est mise à crier, et elle a vite regardé mes blessures.
    Ben vous savez quoi ? Fallait qu’elle me rebrosse encore partout, parce que c’te sale pute hongroise (j’en connais pas, mais je suis sure qu’elles sont sympas en fait…) d’infirmière, elle utilisait un produit trop bidon pour ce que j’avais, et que je démarrais tranquillou une surinfection !

    La classe hein ?
    Tout le monde m’envie à donc là tout de suite, je le sens !
    J’ai fini par aller tous les jours à la clinique pour mes soins.

    Long hein ??
    Moi je dis que ça mérite une souris Dior ...

    Bonjour au cousin Mimine de ma part, et à Maya aussi ! (Je sais, ils s'en foutent!)

  • Moi, j'avais 13 ans, et j'étais à la piscine avec l'école...Seulement à la piscine, y'a de l'eau (bah wè...), et moi dès que je vois de l'eau, j'ai envie de pisser (enfin d'aller "faire pipi", j'avais 13 ans, je te rappelle).
    Donc je vais aux toilettes, baisse mon maillot de bain Sport2000 bien en bas des pieds, commence ma petite affaire, quand....
    ....je me suis rendue compte que j'avais oublié de fermer la porte à clé. Mais c'était déjà trop tard...

    Depuis, je vais plus à la piscine, et je vérifie 4 fois que j'ai bien fermé le verrou de la porte. (Surtout au boulot, car les chiottes donnent direct dans l'open space. Ca vexe)

  • Je suis le roi de la boulette et je passe mon temps à les raconter sur mon propre blog, alors honnêtement je vois pas trop laquelle choisir...

    Je garde quand même un souvenir vachement gêné du jour où, à la sortie d'un cours, je sors à une pote "C'est quoi son délire de 'thème de merde qu'on ne citera pas ici' sur lequel il veut qu'on bosse??! C'est pourri!!"... Evidemment, ma pote change de couleur, je me retourne et... et oui, le prof en question se trouve juste 60 cm derrière moi (et visiblement, s'apprêtait à m'adresser la parole lorsque j'ai déblatéré ma grosse ânerie).

    Je n'ai plus ouvert la bouche de l'année pendant son cours, et je l'ai fui dans les couloirs...

    Sinon, depuis, il y a aussi eu le premier jour de boulot où je me suis gourré de porte en allant à la compta, et où j'ai demandé de ma plus angélique voix à mon PDG: "Hmm, c'est pas ici les tickets restos?"...

  • Enorme le coup de l'Américain!!
    Mes histoires de honte sont nettement moins drôles. J'avais emmené ma voisine de 4 ans à l'époque au centre commercial car elle voulait absolument que je l'aide à choisir ses premiers chaussons de danse.
    On ressort d'Intersport et elle décide de les enfiler immédiatement "au moins jusqu'à la sortie du centre pour pas les abimer".
    Pendant qu'elle enlève ses chaussures assise par terre, elle me demande
    - "tu as déjà fait de la danse?"
    - "Vaguement, ma puce, très vaguement!"
    - "Je suis sûre que t'es pas cap de faire le grand écart...même pas en entier, hein, juste un petit grand écart"
    -"Bah, un petit, je peux" annonce-je avant de commencer à tenter de lui faire son maudis petit grand écart.
    J'étais en pleine souffrance en train d'essayer de me rapprocher un poil du sol, quand même lorsque j'entends un "heureusement que vous êtes plus douée en histoire qu'en sport"...de mon directeur de recherche.
    Première question qu'il m'a posé lors de la soutenance 15 jours plus tard "alors, ce grand écart, ça progresse?"
    La honte!

  • Moi je raconte pas, y a rien qui m'vient là :-( , mais par contre je vote pour Lil et Gwen (la 1ère partie de son histoire parceque la 2éme... aïe je souffre pour elle...), oui je sais c'est toi qui décide Sonia ;-)

  • Ahahahhaahhahahahahahhahahah
    J'en pleure tellement que c'est drôle ma belle !!
    Merci Merci Merci
    Clap !! Clap !! Clap !!

    Allez je me lance. Putain !! Que c'est dur !!

    C'était en 1999. J'avais suivi mon mec ( et futur ex-mari ) au Canada. En Tournée. Moi normal, j'étais tout le temps fourrée dans le vestiaires des mecs. Et puis y'a vait que des homo ou presque et puis les filles c'est con quoi.
    Bref.
    Pendant l'intermède ou l'intervalle entre Acte I et Acte II ( voyez quoi ), on papote, on grignote un truc et les mecs se changent.
    A un moment donné, je lâche une caisse. Cela devait être un pêt traitre et silencieux. Et bien non, c'est juste à ce moment-là que tous ces mecs qui jacassent tout le temps d'habitude, ils se sont arrêtés. On a entendu les mouches tomber !!
    Moi j'étais pivoine et mon mec aussi.
    Aujourd'hui j'en rigole hein. Mais ils m'ont chambré tout le temps que je suis restée en tournée avec eux soit tous les jours pendant 1 mois ^^
    Voilà !!
    Ouf

  • tiens j'en ai deux autres c'est cadeau, Pierre richard et mon père Biologique...

    1/ Je me fais embaucher dans une grosse boite de pub, j'ai 19 ans, le patron est un pseudo mafieux qui gère ses salariés d'une main de fer.
    Au boulot nous avons deux WC l'un pour les hommes, l'autre pour les dames.
    Celui des dames étant en panne nous devons aller chez les hommes, entre midi et deux pause pipi obligatoire, j'ai la vessie sur le point d'exploser.
    J'ouvre la porte et une odeur nauséabonde s'en échappe, quelqu'un y avais fait la grosse commission.
    Pas d'autres Wc dispo pour cause de travaux et je vais me pisser dessus, donc je rentre en apné et en ressort à peine 2 mns plus tard exténuée car je suis asthmatique, l'apné n'est pas pour moi.
    Devant moi Big boss qui va au petit coin, je suis médusée de terreur, il va croire que je fais popo pendant la pause déj au bureau!
    J'ai bredouillé nerveusement "c'est pas moi, promis c'est pas moi" et suis partie.
    Je pense que pendant les deux ans de mon contrat il a du m'appeler pause caca!

    2/ Toujours dans cette même boite, gros budget, réunion au sommet le matin à l'aube, panne de métro je suis en retard, je cours de toutes mes forces, le métro sonne les portes vont se fermer.
    Je cours de plus belle et saute dans la rame, mon escarpin reste sur le quai...
    Je bossais au milieu de nul part et il était 6h30 du matin, impossible de m'acheter une paire de chaussures.
    Qui a été en réunion pieds nus ?

  • Sonia si tu me fais gagner la souris de Barbie je te raconte toutes les hontes de ma vie et tu n'imagines pas comme je suis douée dans ce domaine ;-)))

  • Un jour, ou nous avions festoyé plus que de raison la veille j'étais invitée à un barbecue au bord d'un étang.

    Mon dulciné (dont j'étais follement amoureuse, mais qui l'ignorait) m'avait demandé de l'accompagner. Evidemment, j'y suis allée…sauf que…lorsque je festoie, mes intestins ont tendance à se rappeler à moi le lendemain. Et là, ça n'a pas loupé : je me suis mise à avoir d'horribles douleurs abdominales.

    Ne me décourageant pas, je prétextais ma gueule de bois de la veille pour aller marcher un peu histoire de me remettre les idées en place (et de me soulager surtout).

    Je repère des bosquets (Joie dans mon cœur !!!) et me mets à faire ma petite affaire…quel soulagement….sauf que…d’où j'étais je ne voyais pas les gens….mais eux si !!!...ma plus grosse honte…. J'ai fait caca devant plein de monde !!!...

  • Alors toujours quand j'étais une petite enfant insouciante, une amie m'avait invitée dans sa maison de campagne : deux semaines à passer avec son père et ses deux grandes soeurs.
    Et comme il faisait froid, je prenais de longs bains bien brûlants avec ma copine (on avait 10 ans ça va!) dans la salle de bain avec baignoire qui était en fait celle du père.
    En gros on devait passer par sa chambre pour faire trempette, et je sais pas pourquoi mais on se déshabillait vers le lit, au lieu de tout laisser sur le carrelage.
    Et un soir après le bain, je regardais tranquille Titanic sur la télé 2-pouces du salon avec ma coupine et ses frangines, et je vois le père qui arrive avec un tout petit truc en coton qu'il fait tourner comme un lasso.
    Ben c'était ma petite culotte en coton à motifs "101 Dalmatiens" que j'avais oublié de reprendre avec tous mes habits et qui étaient resté posés sur le couvre-lit de monsieur...

    Je te raconte pas comment j'ai été fichée pour tout le reste du séjour, la petite sans-culotte !

  • arf je crois que je vote pour lil, c'est la pire !!

    Sinon, juste pour le fun parce que c'est pas une teuhon à moi, mais elle vaut le détour, une autre "les enfants sont merveilleux" :

    Ma filleule et sa petite soeur, 3 ans, sont dans le bain. La petite fait l'andouille parce que c'est ce qu'elle préfère faire dans la vie. D'un seul coup, les parents entendent : "maman, vite, vite, y'a E. (je préserve son anonymat, hein), y'a du sang partout dans la baignoire !". Ils arrivent en trombe, y'a bien du sang partout dans la baignoire, impossible de voir d'où ça vient, ils sèchent la gamine, pas de plaie, nada. Parce que la gamine, en fait, elle est tombée en faisant des glissades. Sur le rebord du seau en plastique de plage. Dans la moumounette. Ils lui mettent une couche pour voir si ça se calme, au bout d'1/2h, la couche est pleine, ils appelent le 15. Qui disent d'appeler les pompiers.

    Les pompiers débarquent dans le lotissement, toutes sirènes à fond. Le voisinage se rassemble of course. La mère monte dans le camion avec la gamine, ravie de toutes ces aventures, et les pompiers lui mettent la sirène tout le long du chemin parce que ça la fait marrer, la gamine. Et ça attirera les 3 voisins qui ne sont pas encore dehors.

    Arrivée à l'hôpital, visite du gynéco (3 ans, hein), points de suture, et of course services sociaux qui déboulent. Ben ouais, quand on se ramène avec une gamine de 3 ans qui saigne, c'est louche. Bon, après explications, elle est relaxée, et peut ramener sa gamine hilare chez elle.

    Ladite gamine, ravie de tout ça, raconte désormais à TOUT LE MONDE, voisins, potes à l'école, parents, etc, qu'elle est allée avec les pompiers à l'hopital parce que elle avait "mal à la moumounette et elle a saigné et ça fait mal".

    Je vous épargne les détails du ressenti des parents.

  • J'adore la photo... tu as de magnifiques mains (ça c'est juste pour avoir une chance supplémentaire pour avoir la souris, car ouai je suis un mec mais j'aime Dior !!!)

    En ce qui concerne l'histoire, et bien en fait j'hésite entre deux....

    Bon j'ai fait mon choix.

    Alors ça remonte à une dizaine d'année environ, j'avais donc... ah ba non je vais pas le dire ce serait encore pire.
    Bref, j'étais jeune tu vois et je découvrais le monde, j'adorais sortir pour n'importe quelle raison : chercher le courrier, promener mon chien, accompagner ma mère chez le gynéco... des choses importantes tu vois.
    Et donc un après-midi de janvier, je rentre de l'école et j'allume la télé et là qui je vois : Claire "jme tape des jeunots depuis que Xavier Couture m'a dégagée" Chazal, qui annonce que François Mitterand était décédé.
    Moi bien sur j'en avais rien à foutre, j'attendais ma voisine qui devait venir prendre le gouter et me montrer sa nouvelle Barbie (je crois que c'était celle tu sais avec les cheveux jusqu'aux pieds et que même tu peux lui faire une couleur... j'adorais les Barbies !)

    Puis 2 jours passent et une amie de la famille, qui accessoirement était ma prof et la directrice de mon établissement, me demande si je voulais l'accompagner à Paris, elle et deux autres profs à une cérémonie en hommage à Frédéric (ouai c'est un pote pour moi !).
    Moi tout content d'aller à Paris ...ba je dis oui tu vois, jpensais que j'allais genre voir la tour Eiffel, ou les PD du marais....

    Ba j'aurais jamais du monter dans la Volvo.... (quel genre de personne roule encore avec cette marque aujourd'hui ?).

    On arrive Place de la Bastille, un monde de malade que même Madonna, son string rose et sa canne arriveraient pas à en rassembler autant. Il pleuvait telles une femme fontaine en plein oubli...et les gens étaient là, écoutant des morceaux d'Opéra comme Le Temps Des Cerises de Barbara Hendricks ou d'autres mecs venus dire que Miterrand était génial etc etc...

    Seulement tu vois, on a du arriver en début d'après midi et le ciel devenait noir qu'on était toujours plantés là....mes oreilles n'en pouvaient plus, c'était comme ci elles étaient percées, tel un chapelet de perles de sang...et moi j'm'ennuyais GRAAAAAVEEEE.

    Tu sais ce que c'est que de rester debout sans bouger pendant 7h ?

    non ?

    Ba moi oui. Je t'explique.

    Ma vessie était au bord de l'explosion et plus l'autre débile gueulait dans son micro, plus j'avais envie ....

    Un moment y'a des choses que tu peux plus retenir...

    Angeline (oui c'est l'idiote qui ma ramenait avec elle) me dit "Ca va Nicolas ? Pourquoi tu bouges autant sur place ?"

    Et moi à l'époque j'étais trés trés timide, un peu comme lorsque je vois l'anatomie d'une fille...tu vois ?

    Et ba je lui fais : "j'ai envie d'aller aux toilettes"

    .....

    Simultanément, j'ai pas resisté à la pression et j'ai laché les vannes....

    Je portais un jean blanc (oui bon ça va on à tous fait des erreurs étant jeune)

    Mais j'ai oublié de te dire que tu sais y'avait une caméra qui passait au dessus de nos tête....et je suis passé à la télé.. et on voyait TOUT.

    A l'époque j'avais 13ans... c'est là que réside la honte.


    En rentrant dans la voiture, les deux autres profs n'étaient pas au courant pour moi et elles n'ont pas arretés pendant tout le chemin de dire "ça sent le pipi dans ta voiture Angeline c'est bizarre"

    Voila.

    Bien sûr, toute l'école a été au courant.... à 13 ans pisser dans son froc comme un jeune puceau en plein éjaculation précoce... c'est la honte.


    Sinon l'histoire que j'ai hésité à te raconter, c'est que je suis banni du Queen.... Enfin c'est volontaire. Disons que je ne bois jamais et une fois je me suis laché (tiens la encore) et apparement le lendemain on m'a raconté que je me suis mis sur les tables, torse nu et en boxer que j'étais SHAKIRA et BEYONCE, et je dansais comme elles....


    A ce qu'il paraît j'ai un super déhanché...


    bisous!

  • Mon Dieu, mais c'est pas la honte si ça a fini par un échange de salive !

    Moi, des hontes, je pourrais ouvrir un blog rien que pour ça. Deux des pires :

    La première, lors de mon premier job j'avais un contact chez BIIIP. Une autre de mes collègues devait aussi parfois faire affaire avec lui. Ce type de chez BIIIP était une vraie plaie, la mauvaise fois personnifiée, pas sympa, toujours à faire des coups dans le dos, à courcircuiter, etc... Ni ma collègue ni moi ne l'aimions.
    Un jour, alors que j'étais au téléphone avec lui, à la fin de la conversation il me demande de parler à ma collègue. Je n'arrive pas à la lui passer vu qu'elle est en ligne. Il me dit, "ok, dites-lui de me rappeler". Comme ma collègue est au 2e étage, je lui fais un mail où j'écris juste dans l'objet "Rappeler le con de chez BIIIP".
    Au moment où j'envoie le mail, je me rends compte que c'est au concerné que je viens de l'envoyer.

    Une autre honte. Je suis à l'enterrement d'une de mes meilleures amies qui vient de se suicider. Je connais bien sa famille bien que je ne les aie pas revus depuis quelques années.
    Après la cérémonie funèbre, je vais dire un petit mot aux gens que je connais. De loin, il me semble reconnaître sa grand-mère que je n'avais vu que 2-3 fois. Je vais vers elle, je lui présente mes condoléances d'un air très sérieux. Elle me répond (d'un air pas trop triste) "mais qui êtes-vous jeune fille ?". Je me présente et lui rappelle les circonstances précises dans lesquelles nous nous étions rencontrées.
    Elle me sourit et me dit qu'elle ne voit pas de quoi il s'agit. C'est à ce moment que je vois passer une vieille dame effondrée de l'autre côté de la salle : la GRAND-MERE !
    Encore aujourd'hui, je ne sais pas qui était la femme à qui j'ai présenté mes condoléances.

  • Mince, y'a des gens qui en mettent 2 d'anecdotes.
    Je peux dis, je peux ?

    Donc, une deuxième si tu veux bien, d'un autre niveau que ma 1ere :

    Un soir, jeune et frele comme une gazelle, je sors en boite.
    A cet age, on est insouciante, et on pense que tout est possible, sans conséquences.
    Je fais la fête, mais un peu trop...
    A une certaine heure, je décide subitement que cette boîte est nulle, et que je veux aller à l'autre, située à quelques kilomètres de là.
    Je sors mon port de tête royal, et préviens mes amis que "J'me casse ailleurs, je veux faire la fête encore plus!!!"
    Là, je sais pas pourquoi, ils m'ont tous suivie dehors. Surement qu'ils voulaient venir avec moi... sais pas trop.
    Moi, imperturbable, je monte dans ma voiture, ma 1ère voiture d'ailleurs, soit donc une épave donné par ma soeur, et je démarre.
    Pis je sais pas, je me suis motivée pour faire des conneries, et j'ai donc commencé à accélérer comme une pauvre fille sur le parking, genre Starsky et Hutch boivent du "cuba libre".
    Et là, au bout du parking, y'avait un portail.
    Ouvert, certes, mais pas trés grand , et rabattu contre les murs qui l'encadraient.
    Ben mon taux d'alccolémie et moi, on a pas trop bien visé, et on a foncé dedans direct.
    Oui oui, dans le portail, qu'était donc devant le mur...
    Au final :
    Voiture défoncée, mon nez aussi, potes qui accourent en disant "on t'a suivi parce qu'on savait que ça arriverait", et surtout, toute la clientèle de la boite ameutée par le bordel que j'avais fait, en train de me regarder.

    Conclusion : on m'a appelée "Miss portail" pendant des années après cette histoire.

  • Je vais faire pâle figure par rapport à certains comm mais tant pis.

    C'est une de mes dernières hontes que je vais donc raconter.
    J'étais en train de passer l'oral le plus important de mon concours pour être prof. C'est l'entretien prépro comme on dit et mon option c'est littérature de jeunesse. En gros on a choisi un livre pendant l'année et on doit faire son commentaire et dire ce qu'on en ferait en classe.
    Me voilà donc à faire mon exposé quand je dois lire le passage choisi. Mais là, inquiétude. Où qu'il est mon livre ? Je regarde d'un air inquiet le bureau des examinateurs... Ma table... Dans mon sac. J'ai pas pu l'oublier ce fichu bouquin en plus je l'avais dans les mains tout à l'heure. Dans mes mains, oui, justement. Et il y était toujours... Je dis dignement "mais quelle idiote je fais" (si ça c'est pas être femme du monde !) et fais semblant de voir que l'une des examinatrices n'a pas levé les yeux au ciel.

    On se sent bien seul parfois.
    Sinon tout le monde m'a bien fait rire et je me suis retrouvée dans plusieurs situations !

  • Ah ! C'est une très jolie honte je trouve !

    Du genre : en voulant dire bonjour The Boss, je l'ai embrassé sur la bouche il avait 20 témoins et je précise qu'au boulot on se serre la main... mon geste était de l'étourderie, j'étais morte de honte ... la suite ? ben je ne te dis pas les rumeurs !


    Sinon la dernière honte : ma fille (2 ans et 3 mois) très sortable, elle se tient bien, est gentille, très souriante en société , il y a quelques semaines dans un restaurant chic (donc les gens parlaient doucement) ambiance feutrée bruits de fourchettes .... Elle parlait doucement, elle se tenait bien et tout et tout, elle était l'admiration et des clients et des serveurs - En attendant le dessert un serveur lui donne une sucettee - elle la mange et là on lui demande "quel est le parfum ma chérie" elle ne répond pas et continue sa sucette ... Donc on insiste, on insiste et tout à coup elle dit très très fort "A la MERDE" .... et elle enchaîne fièrement "sucette à la MEEERRRRDE" très très très très fort ... et l'a répété au moins 10 fois .... tout le monde a entendu , tout le monde a rigolé (ben oui elle est petite) et moi j'avais quand même honte même très honte... Et lorsqu'on est parti elle a dit à la salle "au revoir les amis" ...

  • Très kitch le coup de la grande roue...

    Il y a un an et demi, je suis avec mon amoureux de l'époque et il vient de se faire retirer son permis. Il habite dans une petite banlieue avec que des pavillons et le seul moyen de gagner le RER, c'est de prendre le car qui ne passe que toutes les 30 minutes. Ce matin la, il a des partiels alors quand le car passe sous notre nez il se met a courir et me crie d'en faire autant.
    Je cours donc... Avec mes nouvelles ballerines. Dans ma course je me retrouve sur un trottoir un peu boueux et décide dans une dernière envolée sauvage alors que je suis tout près du car, de sauter sur cette plaque en métal, là, qui à l'air toute propre. Histoire de ne pas salir mes nouvelles chaussures.
    J'ai glissé. Mon pied s'est tordu, je me suis étalée, la tête dans une poubelle que j'ai serrée très fort dans mes bras.
    Et là j'ai entendu : "Manon, lache cette poubelle, y'a le monsieur du car qui t'attends".
    Quand je suis rentrée dans le car en pleurant a moitié tellement j'avais mal, j'ai compris que tous les passagers avaient été témoins de la scène. Eux aussi, ils pleuraient à moitié. Mais de rire.

    Deuxième honte, à la même periode. Je fais un stage dans le journalisme. La chargée de prod' a un mignon petit chien qui m'adore. Je joue avec lui et sans faire exprès je lui fais mal. Le chien couine. La nana arrive et elle me regarde comme si j'étais un bourreau de chien. Je m'excuse auprès du chien en le caressant (oui), donc je suis penchée en avant "oh mon petit minounet, je suis désolée, t'as pas maaaal ?" et là, moment de solitude quand je me relève : je bave.
    Oui. Première fois depuis mes deux ans. Quand je me suis relevée, j'ai bien vu qu'elle avait vu. Là j'ai juste eu envie de disparaitre.

  • Je viens de lire la pire honte de " Gwen "...
    Gwen, merci, jai tellement rigolé que j'en suis tout transpirante dans mon top et jai encore les larmes qui coulent..
    Tu sais décrire les chose de façon si vivante..

  • Moi je vote pour Gwen!!! Ma collègue de travail hallucine parce qu'elle me voit pouffer depuis 1/2h....

    Allé, une p'tite honte toute rikikquette mais que franchement, j'en rougis encore.
    Une journée de taf de malade, l'informaticien et moi on est en plein développement du logiciel d'entreprise (enfin lui surtout, moi je testais et donnais mon avis...faut pas déconner non plus) et ça fait 3heures qu'on se creuse les méninges non-stop.
    Et là, une petite pause s'improvise. Et mon collègue, assis sur le coin de mon bureau (donc me cachant la vue) se lance dans le pliage d'une feuille façon cocotte.
    J'ai TOUJOURS voulu savoir comment faire alors je le supplie de m'apprendre. Et le voilà parti dans une explication de "tu plis la feuille comme ça, tu rabats ça par dessus, tu reviens,... et moi, trop attentive et studieuse qui refait en même temps que lui, pour être sûre de ne pas oublier, bref, super concentrée.
    Et là, tout s'enchaine, je lève la tête et aperçois le directeur général, les bras croisés, en train de nous observer !
    Je tente une explication où je m'enfonce. Et le directeur me lance "non mais allez-y, continuez" en se marrant !!!! C'te misère.
    Bon, aucune chance de gagner la souris mais limite, c'est préférable....

  • Hello Sonia ! Hello tout le monde !

    Baptême du comm pour bibi mais là c'est pour la bonne cause, ça va m'enlever un poids chuis sûre !

    Et comme je ne suis pas encore trop dégourdie, ça va tourner autour du boulot, on va laisser l'intime pour plus tard....

    Alors, première semaine de boulot dans une grosse entreprise où je suis à l'essai... Je rejoins une copine au coin café, et je la retrouve en train de choisir un jus à la machine, je m'avance vers elle et ni une ni deux, je lui enfonce deux doigts dans le dos en sortant "HAUT LES MAINS PEAU D'LAPIN !!".....et ben quand la dame s'est retournée avec un grand sourire, j'ai bien vu que je ne la connaissais ni des lèvres, ni des dents........et j'ai prié pour qu'elle soit d'un autre service...loin....TRES loin du mien.....
    Finalement la période d'essai se passe bien (mon expression débilesque de CE2 a dû réveiller des souvenirs nostalgiques chez la dame que j'ai agressée, elle n'a finalement pas porté plainte....) et on me convie à assister à une formation avec des salariés venant des quatre coins de la France. J'arrive la tête dans le sac à cause d'une mauvaise nuit, et je commence à dire bonjour aux personnes de la formation. Il y a des gens que je connais, d'autres que je n'ai jamais vu, dont une femme d'un âge certain et un jeune homme...humm...choupinou le garçon....Je m'avance, lui claque une bise sur chaque joue "Bonjour...Doriane....", "Bonjour...Mickaël...", et je tend la main à la dame qui est à côté de lui. Cette charmante dame me dit d'ailleurs "Oh mais on peut se faire la bise !" et moi je lui sors toute embrumée "Oh vous savez, j'ai l'habitude de faire la bise aux jeunes et de serrez la main des vieuuuuuu......"....je suis allée m'asseoir...dans le fond de la salle....seule.....avec une incommensurable envie de disparaître.......

    Je vous rassure, depuis j'ai fait pire...

  • Moi je suis miss boulette, il m'arrive tout le temps des ceuneries...
    Je te passe toute les fois où j'ai sorti des énormités et les fois fois où je me suis mise toute entière dans le plat !!!

    Des hontes j'en ai plein, mais il y en a pas une qui dépasse l'autre pour moi.

    Je vous fait profiter des meilleures, il y a eu:

    ***
    la fois où je m'étais mis en short au collège. C'était l'hiver, j'avais des collants. Jusque là normal. Le problème c'est que j'étais poilue et qu'à l'époque je me rasais pas (pourquoi faire quand on a 11-12 ans on s'en fout un peu).
    Apparemment il y avait que moi qui m'en foutait parce que toute la journée j'ai été suivi par une horde de petit con qui se foutait de ma gueule, enfin surtout de mes jambes.
    J'ai du raser les murs le plus possible et me cacher toute la journée pour éviter qu'on me montre du doigt.

    ***

    La fois où j'ai eu mes ragnagna pendant un voyage scolaire en Espagne, le problème c'est que la prof s'en foutait royal de chez royal de mes problèmes féminins et que les pauses pipi ça retardait toute le monde. Résultat, mon jean était taché de sang.
    Heureusement, j'avais un manteau long et puis j'étais pas pudique pour ces choses là, alors toute ma classe savait.

    La honte est arrivée plus tard. A la fin de la journée, je raccompagne des potes chez leur correspondant, on tombe sur la maman qui nous tient un peu la jambe (moi j'avais qu'une envie, rentrer chez ma famille d'accueil pour me changer). Et elle qui me force à m'assoir. Je dis non au moins 50 fois mais rien à faire, j'ai du m'assoir sur son beau fauteuil jaune poussin.
    Quand elle a répondu au téléphone, je me suis vite taillée laissant une énorme marque rouge sur le coussin jaune !!!! Il n'y a pas que le coussin qui est devenu rouge ce jour là.

    ****

    Les fois où j'ai été surprise au toilette par des gens de la famille de mon mec parce que j'oubliais fréquement de fermer la porte des toilettes... super glamour.
    Après je regardais plus jamais ces personnes là dans les yeux.

    ****

    La fois où le père d'un de mes petits copains nous a surpris en train de faire des galipettes !!!
    Je précise que le père et moi n'avions pas été présentés et qu'il ne savait même pas que j'étais chez lui !!!

    ****

    La fois où un copain m'avait invité à une soirée, j'avais mis des talons de 12cm parce que le gars en question est super grand. Je me la pétais à mort, démarche ultrasexy et tout et tout. Puis voilà que ce grand con traverse la route au milieu des voitures en me tirant par le bras et moi qui gémi: "je traverssse jamaaiiss en dehors des clous". Je me mets donc à courir comme une conne, évidemment mon talon ripe, voilà que je pars à l'arrière. Je me rattrape au bras du gars, je fais une pirouette super bizarre et j'atteri les genoux dans un carré de terre (là où ils plantent des arbres).
    Le seul coin où il n'y a pas de goudron donc, et la terre est boueuse.
    Résultat, toutes les voitures du feu rouge m'ont vu à l'action et j'avais les genoux couvert de terre. Et mon copain qui était mi gené mi hilare. Moi j'étais rouge pivoine et j'ai essayé de garder le peu de dignité qui me restait en priant pour pas qu'il y ait de pisse de chien où autre dans ce bout de terre !!!

    ***

    La fois où je travaillais pour les vacances. Je me sentais pas bien. J'étais toute blanche et je tenais plus debout. Je vais dans les bureaux de l'administration pour appeler ma famille... personne.
    Comme je suis trop mal ils ne veulent pas me laisser partir seule.
    Au bout d'un moment je dis que je vais aller au WC parce que je me sens pas bien.
    La personne ne veut pas me lacher et me suis partout. J'essaie de m'enfermer au WC pas moyen, je ferme la porte mais pas à clef et juste au moment où je me met à vomir elle ouvre la porte. C'est la que j'ai vomi devant une parfaite inconnue !!! o_O

    Ensuite comme il y avait personne pour me ramener chez moi ils ont rien trouvé de mieux qu'appeler les pompiers qui ont pris des petits chemins de chèvre pour m'emmener à l'hopital (c'était un racourci parait-il?), qui m'ont demandé 10 fois si j'étais pas enceinte, si j'avais des rapports sexuels etc... et moi qui me concentrait pour pas gerber dans leur pauvre haricot.
    A l'hopital, j'ai du patienter pendant au moins 1 heure à l'agonie dans la salle d'attente.
    Le médecin qui me transperse le ventre en me tatant : verdict gastro, comme si je m'en doutais pas.
    J'en pouvais plus de l'odeur de cet hopital, je suis sortie pour prendre l'air, mais comme j'avais rien bouffé je suis à moitié tombé dans les pommes, j'ai du demandé à des passants d'appeler quelqu'un et ils sont venus me chercher à moitié par terre et m'ont ramené à l'intérieur dans un fauteuil roulant....

    ***

    La fois où après une prise de sang je suis tombée dans les pommes devant le labo... j'étais étalée par terre devant tous les patients.

    ... ... ...

    Il m'en arrive tout le temps. Moi même j'ai un nom pour ça "miss catastrophe à l'action"
    Sur le coup, j'ai envie de me cacher dans un petit trou et puis dès qu'il n'y a plus de regards, j'éclate de rire.


    Allez Sonia avoue que c'était pas ta plus grande honte cette histoire là !!!??, c'était plutôt gentillet et puis ça a fini en roulage de pelle, donc finalement c'était plutôt une approche payante

    Je dois dire que je ne sais pas si à ta place je me serais remise de la fois où tu t'es promenée le cul à l'air parce que ta robe était décousue !!!

  • Bon, je vois qu'il y a du lourd de chez lourd ... j'avais pas osé ... me réduire à cette misérable petite chose mortifiée de honte que je fus quand atteinte d'une gastro, la pire qui soit et que je n'ai jamais eu de nouveau dieu m'en garde !
    C'était il y a presque 10 ans, en couple depuis peu ...

    Je n'avais même pas eu le temps d'esquisser un pas hors du lit que l'affaire fut faite ... j'ai chié sur la couette ... et dans ma chemise de nuit ...
    J'en ai chialé de honte ...

    Mon futur mari à l'époque fut exemplaire.

    Je n'arrive même pas à en rire 10 ans plus tard, c'est dire le traumatisme.
    Ca y est c'est gravé dans le marbre.

    Shame on me and fuck la gastro !

  • Alors moi c'est juste pour le fun, j'ai pas besoin de souris (genre je m'imagine que je vais gagner, surtout face à Ron, Glamazone ou plein d'autres dont j'ai oublié le pseudo mais pas les histoires lol... c'est beau les rêves mais c'est la nuit ;-D).
    Donc j'ai 2 plus grandes hontes, parce qu'elles le valent bien !!

    ***

    J'étais en 4è, l'époque où on est super complexé, super renfermé, super sans amis. J'étais enrhumée jusqu'à la moëlle, mais comme on faisait accro-gym en sport, j'avais tenu à ne pas me faire dispenser. Parce que j'ai fait de la gym en club, donc j'étais plutôt douée (c'était ma minute "Je suis abonnée à Interflora"). Et comme je n'avais pas d'amis, la gym était un des rares moments où je pouvais briller (si, y avait les dictées aussi, mais ça intéresse qui en 4è ?! lol), où on pouvait se dire "tiens, elle est pas si nulle que ça en fait".

    Bref, ce jour-là, j'étais enrhumée, nez qui coule et tout ce qui va avec. Je faisais la base d'une pyramide parce que j'avais décrété que j'étais "une grosse baleine de l'espace" (copyright Soso si je n'ai pas déformé ton expression lol). Evidemment, impossible de me moucher sinon je faisais tomber tout le monde (déjà que quand je ne bougeais pas c'était limite). Donc ce qui devait arriver arriva: mon nez coula, une goutte tomba sur le tapis, et une fille du groupe la vit.

    Réaction de la fille: "QUI A BAVE !!!!! MARINOUNETTE (enfin elle m'a appelée par mon prénom hein) C'EST TOI QUI A BAVE !!!!!".
    Offusquée, je lui réponds "évidemment c'est moi que t'accuses en premier !! Eh ben nan, j'ai même pas bavé, d'abord !!".
    J'ai pas menti: j'ai pas bavé (j'avais juste le nez qui coulait :-D). Je me voyais mal répondre que c'était de la morve, la mienne de surcroit, mon cas était déjà assez critique comme ça, puis si c'était pour que toute la classe et tout le collège me traite de morveuse, merci bien au revoir et bonne année.
    Elle a donc décidé d'emmerder une autre fille du groupe (sans amis elle aussi): "ALIIIIIICE C'ES TOI QUI AS BAVE !!!!!!!!!!!!!!!". La pauvre Alice essaye de répliquer que non, c'est pas elle. L'autre insiste. Je me dis "merde, elle est en train de se faire incendier à cause de moi", donc j'ai réussi à mettre tout le monde d'accord en disant "bon on s'en fout on a qu'à changer de tapis parce que là, beuuuuuuuurkkkkk mais c'est dégueulasse chais pas qui a bavé mais c'est pourri ça s'fait pas, bon allez Alice laisse ça tu vas quand même pas nettoyer ça quand même t'es folle, et on change de tapis".
    Ouf :-D

    ***

    Et ma 2è honte, c'était il y a 3-4 ans à la fuck (faaaaac pas baisodroooome).
    Moment des partiels, dans le hall du batiment.

    Je suis assise avec quelques co-étudiants qui subissent la même torture que moi (étant dans la même promo que moi), dont une fille peu avenante (voire pas avenante du tout), qui tire tout le temps la tronche sauf quand elle raconte ses histoires de cul dont personne n'a à pêter, surtout que je remets la véracité en doute...).

    Cette fille, qui n'avait pas eu d'histoire de cul depuis un moment (sinon on y aurait eu droit), a préféré se plaindre (son principal hobby, en fait): "Pffff y en a marre de ces partiels, je vais me suicider moi....."
    J'étais dans un bon jour, j'ai voulu répondre "moi aussi j'en ai marre", avec beaucoup de bonne volonté.

    Sauf que ce qui est sorti, c'est "ben je t'aide alors".

    Gros blanc dans le groupe :-D
    Entre déblatérer sur un autre sujet mine de rien, m'excuser (ou plutôt m'enfoncer), et me taire, j'ai choisi la solution la moins indigne, j'ai fermé ma gueule jusqu'à ce qu'on rentre dans la salle pour l'épreuve :-D
    La honte loool !!!!! J'ai absolument pas voulu dire ça en plus !!!!!!!!!

  • This happened a couple of years ago to a friend of mine that is a doctor (no, his picture is not on the blog ;-).

    He was out one night with some friends trying there luck with the opposite sex. After a loot of flirting (and a loot of drinks) he finally got a good looking girl on the hook.

    Everything was looking like he would not spend the night alone. She was throwing her hear around, kept touching his arm and laughed at all his jokes (even the bad one which is definitely a sigh of green light).

    He however had a tiny problem, he could not get the nagging feeling out of his head that he knew her from somewhere. He just could not remember from where? But of course, such a small problem should not stop a guy from having a good time now, should it?

    An hour of work later, things were moving on smoothly and he ones more leans over for a kiss, and find that she freezes to ice! On a microsecond, she turned from giving him a seductive playtime look, to give him a face of utter, complete horror. The colour in her face disappeared faster than Louis Vuitton handbags on a sale. He didn’t even have a chance to blink, before she was running for the door.
    Two seconds later, she was out of the club is a speed that would make the girls running the annual high heels race in Berlin, green of envy. With a face of complete astonishment, he finally remembers where he had met the girl before... A couple of months before he had met her at work... During which he had helped in the removal of the girls.... genital warts!!!! He finally was not that upset that he had to spend the night alone in his bed.

  • Et l’angoisse de la crotte flottante qui ne veut pas partir après avoir tiré 12 fois la chasse d’eau chez les parents de la copine.

    Et la caisse larguée dans l’ascenseur qui pour une fois s’arrête à l’étage où il s’arrête jamais ce con le matin très tôt.. parce que en général je suis le premier au boulot, mais pas ce jour là, on était deux.. Mais ça va le mec je le connaissais pas, et lui il avait pas l’air d’avoir envie de faire ma connaissance de toute façon.

    Et la fois où au début de notre relation, ma copine ne pouvant plus se retenir sur le chemin retour d’une séance ciné me demande de l’arrêter sur le bord d’une petite route paumée dans notre campagne pour pisser derrière un petit arbuste et qui au moment où elle baisse sa culotte une bagnole déboule de je ne sais où plein phares. Elle du coup prise de panique remet tout en place trop vite et fini son affaire sur sa jupe, obligée de l’enlever pour finir le trajet et pas bousiller le siège.. moi je trouvais ça chouette de la trimballer à moitié à poil, elle moins ;)

  • "vous voulez quoi!!?" que j'ai dis à la soeur du PDG quand elle s'est pointée dans mon bureau, un jour de fête pour nous souhaiter plein de bonnes choses. OUi j'ai dis ça comme ça d'un air arrogant. Je ne sais pas comment c'est sorti. Le pire c'est que c'est sorti comme ça alors que je ne savais pas qui elle était. En fait je ne conaissais pas le lien de parenté qui la liais au big boss. Elle est sortie du bureau à reculons en s'excusant! Je ne l'ai même pas rattrappée pour m'excuser. c'est parce que g t seule au bureau ce jour là ( c t un jour férié) et g t surprise que quelqu'un débarque comme çà.
    Quand on m'a dit que c'est la soeur du Patron j'ai failli m'évanouir. je comprends mieux pourquoi elle me dit à peine bonjour dans les couloirs. Mais ce que je ne comprends pas c'est pour quoi elle ne m'a toujours pas mise à la porte. :

    Ah oui je sais

    c'est parce que je suis irremplaçable !

    Bon ça va! laisse moi croire ce que je veux...

  • Bon là la souris de mon ordi est en train de lâcher... je demande un peu de pitié pour mon cas... En plus c'est à mon ex et à chaque fois que je vois la souris je pense à lui! C'est très mauvais il faut absolument que j'en change! Et puis la souris est rose, pour s'assortir avec mon fauteuil de bureau!

    Mes anecdotes:

    - Je suis dans le bureau de mon promoteur. Le téléphone sonne. Je reste, j'avais encore plein de questions à lui poser. Il répond. Il commence à causer, causer. Puis il commence à parler du cancer de sa femme etc. Bizarrement, je ne me sentais pas à ma place. Je ne l'ai pas revu depuis, je rends mon mémoire vendredi.


    (interlude d'interlignes)


    - Je sors d'un cours, je vais à l'extérieur. La prof est une vraie porte de prison, le cours pourrait être super intéressant mais en fait non, il ne l'est pas, sinon ça serait trop chouette de se lever le matin pour y aller... Je commence à déblatérer ma bile. A un moment on me fait: euh, Ad, la prof vient de passer derrière toi. Je n'ai plus été au cours de l'année. Heureusement c'est un examen écrit. Avec un peu de chance elle m'a oubliée.

  • Vous êtes toutes et tous de grands malades :)

    Pour ma part, je pourrais citer la séance de maquillage sur un stand dont je ne citerai pas la marque, par un homme extraordinairement beau.
    J'ai papilloné des cils toute la séance,
    lui ai fait des sourires charmeurs
    pour m'apercevoir en me regardant dans un miroir à la fin que j'avais un vilain morceau de salade coincé entre les incisives...

    Et puis l'autre soir, lorsque je me suis trompé de tube de crême et que pensant me mettre un échantillon de creme hydratante, je me suis consciencieusement étalé de la super glue ExtraForte sur toute la plante du pied et entre les orteils et que je suis restée collée la main sur la plante du pied.
    C'était un grand moment de solitude puisque j'étais effectivement seule d'ailleurs.
    Heureusement que j'ai pu décoller quand même, j'imagine la tête des ambulanciers si j'avais du appeler les urgences.

  • moi deja je savais même pas que ça existait la souris dior...
    en tout cas au niveau de la honte yen a pour tous les gouts et au moins on se sent moins seule!
    moi je suis sure que j'en oublie mais pour moi la pire des hontes (ça m'est arrivé deux fois en fait avec des personnes différentes) pendant mes années lycée j'étais à la cantine et je commence à me moquer d'une fille qui ne ressemblait à rien et qui avait un gilet d'homme rouge vernis sur un pull horrible et moi je commente je commente et là ma copine en face de moi me dis c'est ma soeur et c'est un gilet que je lui ai prêté... gros moment de solitude que j'ai du rattraper avec un "ah ouais en fait ça peut donner un style..."
    et une autre fois je me moquais de la coupe de cheveux et de la dégaine d'un garçon et là idem une copine m'a dit c'est mon frère... donc depuis j'ai décidé d'arrêter de critiquer les gens, enfin je continue en cachette à l'intérieur de moi même!!!!

  • Lors d'un déplacement professionnel, je retrouve mon amant dans un hotel. Tout se passe merveilleusement bien, il m'offre même un petit cadeau: un plug anal, petit tout mimi, en métal. Je repars, des étoiles plein les yeux. A l'aéroport, le portique de sécurité hurle à mon passage... Hé oui qui est ce qui n'avait qu'un petit sac qui passe en cabine dans lequel se trouvait bien sur ledit plug? Le pire c'est que j'étais surprise que mon sac sonne, fouille du sac, et c'est quand le mec de la sécurité a sorti l'objet du délit que je suis devenue rouge tomate et j'ai balbutié un improbable "heu... c'est un bouton de porte"...qui n'a bluffé personne vu les regards lubriques des collègues.

  • J'adooOoore Pierre & Gilles !! J'ai vu il y a une dizaine d'années un rétrospective à la maison de la photo. Il y avait une galerie Adult avec toutes ces photos de gros zizis (essentiellement des homos). Du lourd !
    Ces mecs là sont géniaux !

  • Canon!!!
    J'ai dormi sur un trottoir à Damas une nuit: arrivé tard, porte fermée.
    Le matin, un type entre... la porte était juste lourde à pousser.

  • hello... bon y'a du lourd dans les anecdotes la. mais c'est bien de pouvoir en parler avec un pseudo et derrière un écran d'ordinateur...

    bon ben moi j'en ai eu plein mais une qui m'a marqué : il était une fois dans une école primaire il y'a environ 12 ans... le petit lerkoner qui a part se démarquer par son physique un peu plus rond que les 95% des élèves, était un gosse de 8 ans banal, jusqu'a se jour tragique ou JB, un grand de l'école, cet enfoiré de bogoss que toute les filles était amoureuse annonce à une assemblée de petits marmots avec des rêves de touche pipi plein le chou qu'on peut voir les filles toutes nues sans problèmes par les aérations des vestiaires de la salle de sport.

    étant un petit garçon normalement constitué et ayant moi aussi des envies de touche pipi, je me dirige donc le mercredi en fin d'après midi à cette fameuse salle de sport où les filles jouaient au basket.
    Etant le petit garçon du patelin à habiter le plus près de la salle, je me dit que je connait le lieu par coeur et qu'en cas de serrage ben je pourrais me barrer le plus rapidement possible jusqu'à chez moi.

    c'est alors que confiant, mon vélo rockrider 300 caché dans des buissons pas loin des vestiaires, je m'approche à pas de loup, me penche pour passer le regard dans la grille et là, horreur ! je me suis trompé de vestiaires !!! des mecs, pouaaaah

    dégouté par cette vision, je prends mon courage a deux mains et file vers l'autre vestiaires, et là, à quatre pattes sur les graviers, satisfaction, j'entrevoie dans la vapeur des douches des jambes, des culottes, des fesses et encore mieux que ça... je suis aux anges

    mon slip batman commence a craquer et une courbure très révélatrice se formet au niveau de mon bermuda en toile très légère (autrement dit je croise quelqu'un je suis grillé sec !!)

    tant pis, je continue à me rincer l'oeil quand tout à coups j'entends qu'on prononce mon prénom de l'extérieur du vestiaires... oui face à moi.

    je relève la tête et là horreur, la mère d'une des filles, je la connait mais ma mère aussi la connait... je panique. elle me demande ce que je fait, je n'arrive pas à répondre, elle me demande si je fait une blague aux filles (trop conne la daronne), et là je lui balbutie que non, excuse de gosse d'un grand baratineur de 8 ans habitué aux coups foireux et foirés : j'ai fait tomber ma pièce de dix francs et je crois qu'elle est passée par la grille... (pour ceux qui visualisent mal la scène c'est complètement improbable que ma pièce tombe sur les graviers pour rebondir à 30 cm du sol et traverser la grille...)

    puis, fugue en courant avec mes nouvelles baskets qui s'éclairent au talons, je saute sur mon vélo et file à la maison...

    j'ai passé un soir à la maison et une fin de semaine à l'école ou mes bavardages habituels se faisaient moins ressentir.

    voilà,

    j'ai encore moult dossiers à vous donner mais ça suffit pour l'instant

    merci de votre écoute et de votre compréhension

    peace

  • Tout pareil, je vais raconter ma pire honte, 3 ans après tout le monde, histoire de faire sourire ceux qui, comme moi, passent lire les commentaires en pleine nuit.

    Donc :

    J'avais 17 ans, et j'étais en week end chez mon amoureux de l'époque (enfin chez ses parents), le tout premier copain avec qui c'était du sérieux et tout.

    Ce con avait un lit superposé, qui est l'objet du mal incarné.

    Lui était déjà descendu du lit, et je m'apprêtais à le suivre, quand mon pied a glissé du barreau de l'escalier (le premier barreau tout en haut évidemment). Essayant de résister le plus possible, la chute en elle-même, déjà, a été la plus longue de ma vie, mélange de ralenti et de ridicule où tu t'accroches désespérément, en sachant très bien que tu vas te vautrer quand même.
    Voilà donc que je m'étale sur le plancher sous ses yeux, tout en prenant soin de me déboiter la hanche tant qu'à faire.

    Mais comme si ça suffisait pas, dans ma gène et ma douleur, je me mets à rire nerveusement. Puis à lâcher une caisse à force de rire. Puis à me faire pipi dessus. Puis à pleurer de honte.
    Pour parfaire le tout, mon amoureux qui ne savait pas comment réagir est parti chercher sa mère qui m'a aidée à éponger ma pisse...

    Voilà, profitez, je l'ai pas racontée à grand monde ! ;)

  • Bon, je te raconte la honte de ma vie number one (passque y en a eu et re-re-eu), mais celle ci elle me fait encore faire pipi dans ma culotte quand je la revois dans ma petite tête.
    Alors à l 'époque je travaillais chez Décathlon et on avait des réducs pour des journées dans des clubs de sport. Donc, super motivée, j 'en prends deux pour y aller avec une chopine.
    Mais une fois sur place, la chopine avise le jacuzzi et elle voulait que ça. Donc, en chopine sympa je dis ok et on met les maillots et on y va.
    Là, on avise un mec lambda déjà dans le jacuzzi (et qui s'la joue un peu). Chopine, elle dit:" j'vais faire du hammam avant" et moi j'y réponds "ah nan, déteste ce truc, j't'attends dans la flotte chlorée".
    Comme j 'étais hyper complexée, je me dépêche de rentrer mon corps (pourtant très bien à l'époque, m'en suis rendue compte une fois que j 'avais grossi) dans le dit jacuzzi et là, j'te l'donne en mille Emile.......
    ......je me casse la gueule et attéris où ??????? ben directement sur le torse du mec, sinon c'est pas drôle.
    Je veux vite m 'enfuir et donc je fais quoi, hein, QUOI???? ben je prends appui sur les coucougnettes du mec, grosse impulsion et je me fous de l'autre côté du jacuzzi pour que ma chopine puisse me retrouver en sortant de son hammam.
    En attendant que le mec se remette de notre "rencontre" et sorte de la flotte, ben moi, j'ai eu un fou rire nerveux horrible que j'avais envie de me noyer pour cesser de ricaner telle une hyiène.
    Pis après le gars, il est sorti en boitant dignement et ma chopine est sortie et elle me dit "ben kessketa?".
    Des années après, j'étais dans l 'armée. Avec mes collègues on se racontait nos plus grosses hontes (paske à cette époque je me cassais tout le temps la margoulette partout, même à l 'arrêt.Ce qui m 'a permis de me faire plein de chopains pompiers,soi dit en passant parce que je me viandais très souvent vers chez eux) et là je raconte cette histoire.
    Ben, tu sais quoi, je me suis pissée dessus et la ,avec le pipi qui coule le long de tes bas jusqu'aux escarpins, ben j 'ai chopé la deuxième honte de ma vie.
    Bref, je m 'en suis remise mais j'ai toujours le fou rire d'une moche hyène quand je raconte (ou écris) cette histoire car je visualise l 'hécatombe. C'te honte quand même........

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