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j'ai pas peur des souris

  • Aidez-moi à les départager !

     

     EDIT :

    LA GAGNANTE DE LA SOURIS ROSE KITCH EST

    CONNASSEEE !!!

     

     

                                            

     

    Nan passque vraiment là je sais pas...

    Ya des cas de loose vraiment géniaux nan ?

    Soyez pas vexé si vous êtes pas dans la sélection finale ! Vraiment c'était difficile de faire un choix.

    Il ne doit en rester qu'1 seul sur ces 12 cas !

    Et c'est 1 seul Vote par personne, merci...

     

     

    C'était lors d'un joli moi de septembre. Je promenais mon nain au parc.
    Tout à coup, au loin, un visage m'est familier ... Mon mari me reproche tout le temps de ne pas calculer nos connaissances respectives dans la rue, de ne pas les saluer et m'engueule régulièrement ... C'est pas ma faute, souvent j'ai la tête ailleurs !
    Pour dire un jour au supermarché, j'ai pesé mes bananes à côté de ma mère, sans la reconnaître ... elle était sur les fesses !
    Bref, revenons à nos endives au gratin, j'étais donc au parc et là, je me dis intérieurement que je vais mettre un point d'honneur à saluer la personne comme une gente dame.
    Je reconnais en fait vaguement une ancienne collègue de mon mari, avec qui on avait fait une soirée boulot. Elle se rapproche, me sourit, bingo, c'est bien elle.
    Je m'approche à mon tour, je lui claque la bise et là, je lis comme une stupeur étrange sur son visage. Je sors trois banalités, elle me répond, je descend mes yeux et je vois qu'elle pousse une gamine sur un vélo, je réfléchis : je ne connais personne qui a une enfant de cet âge. Je prends congé dignement et je m'éloigne ... piteuse ...


    Putain, mais à qui donc ai-je claqué la bise comme si je la connaissais depuis les calendes grecques et qu'on avait gardé les marsupilamis ensemble ????? Mon front commence à perler de sueur, je me concentre ... je commence à sentir les terribles affres de la honte m'envahir, le rouge me monte aux joues ...

    BORDEL DE PUTAIN DE MOI-MËME : j'ai fait la bise à ma ....


    .......

    ......

    ........


    PHARMACIENNE !!!!!!!!!

    Voila, tu l'auras compris, j'ai du faire un détour de 5 kms pendant des années pour m'acheter ma crème hémorroidaire dans une autre pharmacie plutôt que dans celle qui était à 20m de chez moi ...

     


    Une autre, c'est cadeau c'est bonheur (mon fils avait 10 mois ... il a 6 ans maintenant ... bien c'est toujours aussi vif de honte).

    Je sors donc de mon appart avec mon sac à main, le sac de nounou de mon nain et mon fameux nain de 10kgs sur les bras. Bref, un bonheur, autant essayer gracieusement de porter 3 enclumes. Je rentre dans l'ascenseur tant bien que mal. Je soufflette comme un bovin qui aurait taquiné un 100m. Et ô rage, l'ascenceur stoppe au 4ème. Un voisin-ami rentre, me tape la bise et nous descendons. Au RDC, il sort et me souhaite une bonne journée, le sourire aux lèvres et en sortant, je m'aperçois que ma chemise sous le poids des divers balots que je me coltine, a cédé au niveau du poitrail !!!!!!
    Je me retrouve donc à 8 heures du mat', dans le couloir de ma résidence, les nichons à l'air et les bras pris.

    La vie est une pute qui pue des pieds parfois !

    @UAL

     

     

     

    Il y a bien longtemps, une éternité, quand j'étais étudiante, on se faisait souvent refouler des boîtes de nuit lyonnaises, parce que mes copines et moi avions l'air trop jeunes (et avec le recul, soyons honnêtes, nous l'étions, trop jeunes).

    Un soir, je décide de mettre le paquet, histoire de mettre toutes nos chances de notre côté face au physio. Pantalon blanc moulant, mules noires avec des talons immenses (oui, en 1997, c'était à la mode les mules) alors que je mesure déjà 1m76, là je culminais à 1m86 je pense, haut noir largement décolleté, et bien entendu, un bon platrage du visage, rimmel en grosses couches, rouge à lèvre carmin, la TOTALE.

    On arrive devant l'objet de notre convoitise, la boîte de night, et on s'enfile dans la queue (c'est une image). Lorsque nous nous présentons devant le physio, ils toise le groupe de minettes, et comme d'hab' fait non de la tête. Puis il m'aperçoit, et semble changer d'avis. Et là, devant mes meilleurs amies, en me désignant du menton, il sort : "Nan, les filles, vous vous rentrez pas, par contre, le trav', là bas au fond, il peut".

    Autant dire, te faire traiter de travelo, à 18 ans, et avec tout le respect que je porte à ces personnes, devant toutes tes amies, c'est le genre d'humiliation dont tu te remets difficile. Par contre, depuis, j'y vais mollo sur le maquillage .... :D

    SASA LA LOUTE

     

     

     

    Moment de loose totale. J'avais préparé ma liste de questions pour l'interview de Rupert Everett, et j'avais ajouté une connerie entre parenthèses à l'usage exclusif de mon collègue journaliste, qu'il le lise avant, une joke entre lui et moi. Ca donnait ça :

    - Rupert, vous croyez encore à l'amour  ? (après tout ce que vous avez sucé)

    Je pose la question à Rupert, il réfléchit, répond et, alors que j'enchaîne, s'empare de ma feuille en la lisant lui-même...
    - Mais qu'est-ce que vous avez écrit en tout petit, voyons, je ne vois pas de là ? "...Après tout ce que j'ai sucé"... Oye... Charmant, merci. La grande classe, Ron.

    Et il me fixe froidement de son regard sublime, me carbonisant en un instant. Je deviens rouge pivoine, bredouille et renverse mon Coca partout. Je classe ce moment number two dans le top 5 des plus grandes hontes de ma vie.

    SHAME SHAME SHAME !

    RON L'INFIRMIER

     

     

    Tiens j'en ai deux autres c'est cadeau, Pierre richard et mon père Biologique...

    1/ Je me fais embaucher dans une grosse boite de pub, j'ai 19 ans,  le patron est un pseudo mafieux qui gère ses salariés d'une main de fer.
    Au boulot nous avons deux WC l'un pour les hommes, l'autre pour les dames.
    Celui des dames étant en panne nous devons aller chez les hommes, entre midi et deux pauses-pipi obligatoire, j'ai la vessie sur le point d'exploser.
    J'ouvre la porte et une odeur nauséabonde s'en échappe, quelqu'un y avais fait la grosse commission.
    Pas d'autres WC dispo pour cause de travaux et je vais me pisser dessus, donc je rentre en apnée et en ressort à peine 2 mns plus tard exténuée car je suis asthmatique, l'apnée n'est pas pour moi.
    Devant moi Big boss qui va au petit coin, je suis médusée de terreur, il va croire que je fais popo pendant la pause déj au bureau!
    J'ai bredouillé nerveusement "c'est pas moi, promis c'est pas moi" et suis partie.
    Je pense que pendant les deux ans de mon contrat il a du m'appeler pause caca !


    2/ Toujours dans cette même boite, gros budget, réunion au sommet le matin à l'aube, panne de métro je suis en retard, je cours de toutes mes forces, le métro sonne les portes vont se fermer.
    Je cours de plus belle et saute dans la rame, mon escarpin reste sur le quai...
    Je bossais au milieu de nul part et il était 6h30 du matin, impossible de m'acheter une paire de chaussures.
    Qui a été en réunion pieds nus ?

    GLAMAZONE

     

     

    Je suis le roi de la boulette et je passe mon temps à les raconter sur mon propre blog, alors honnêtement je vois pas trop laquelle choisir...

    Sinon, depuis, il y a aussi eu le premier jour de boulot où je me suis gouré de porte en allant à la compta, et où j'ai demandé de ma plus angélique voix à mon PDG: "Hmm, c'est pas ici les tickets restos?"...

    VINSH

     

     

    Sinon l'histoire que j'ai hésité à te raconter, c'est que je suis banni du Queen.... Enfin c'est volontaire. Disons que je ne bois jamais et une fois je me suis laché (tiens la encore) et apparemment le lendemain on m'a raconté que je me suis mis sur les tables, torse nu et en boxer que j'étais SHAKIRA et BEYONCE, et je dansais comme elles....

    A ce qu'il paraît j'ai un super déhanché...

    NIKHOLAS

     

     

     

    Bon moi la plus grande honte est la suivante (je ne l'ai jamais racontéeeeee)

    Dans mes périodes je me prends pour une bombe et je veux ressembler à une star du RNB, je m'habillais et me coiffais un peu n'importe comment!
    Dans ces conditions je rencontre un mec, mais vraiment la bombe sexuelle de la fac !
    On se tourne autour, j'arrive à le séduire et on se donne rendez vous un soir pour faire connaissance en profondeur....
    Je passe la journée à réfléchir comment je vais m'habiller et surtout comment me coiffer !
    j'avais les cheveux dans un état lamentable et je voulais coûte que coûte ressembler à Left Eye des TLC et pas de coiffeur en vue !
    J'opte pour une solution radicale et je me sens fin prête pour la soirée !

    Du coup pendant tout le repas je souriais bêtement et n'avais quune hate paser à l'acte enfin !
    Une fois chez lui dans une position très hot (je vous passe les détails) et après moults embrassades et autres je vois monsieur qui se fige et me regarde d'un air surpris !

    Je ne comprends pas !

    je mets ça sur le coup de l'excitation !

    Quand voyant que je ne comprends pas ce qui se passait il me dit "je crois que tu as perdu quelque chose ! regarde sur le lit !"

    Et qu'est ce quil y'avait là devant moi sous les yeux de moi

    Ma perruque !

    Eh oui pour ressembler à Left Eye j'avais mis une perruque pour me la jouer femme fatale ! sauf que ben la perruque n'est pas recommandée pour des situations hotesques comme ça !

    Du coup je me suis retrouvée con avec mes collants sur ma tête (pour retenir mes vrais cheveux) et complètement à poil !!

    Je vous laisse imaginer la scène !!

    Honte mais quelle honte

    CONNASSEEE

     

     

    En même temps les deux verges, c'était juste en face de moi la première fois qu'on se rencontrait...t'aurais-je autant aimée si tu ne m'avais pas sorti ça pour ensuite partir dans un fou rire grandiose et te moucher dans ta serviette (en tissu !!!) au restaurant ???
    On ne le saura jamais !

    Sinon c'est un peu ma spécialité les grandes hontes comme ça, mais là je ne me souviens pas de tout, enfin quand même l'autre jour dans la rue je vois une vieille connaissance avec sa mère et deux autres mecs, devant une boutique de meuble en train de charger des trucs dans la voiture, je fais la bise à tout ce petit monde en demandant à chacun comment il va... Les deux mecs me regardent, l'air ahuri... C'étaient juste des vendeurs du magasin.

    Ah et puis hier aussi, j'allais récupérer ma voiture sur un parking gratuit, un charmant jeune homme en golf noire s'arrête à mon niveau, ouvre la fenêtre ''bonjour mademoiselle, excusez moi de vous demander ça comme ça mais... je peux vous suivre...''
    Moi, je m'offusque ''mais comment ça me suivre nan mais ça va pas la tête nan mais les gens c'est pas possible !''

    C'est alors qu'il ajoute ''vous suivre pour prendre votre place de parking.''

    AHEUM

    ELIIIIIIIISE

     

     

    La deuxième fois, encore plus honteuse, est très récente. L'autre jour, j'avais une pause entre deux cours. Comme il était midi, qu'il faisait froid et moche, je décide d'aller déjeuner au chaud dans un ciné. Confortablement installée dans le noir, je finis par déboutonner mon jean complètement pour être plus à l'aise (oui, je sais...)
    Au bout d'un moment le film se termine, je suis très contente, repue et heureuse.
    Quand la lumière se rallume, je me lève et m'étire longuement, largement, nonchalamment, en toute insouciance.
    Soudain, quelques rangées devant moi, un groupe de personnes tombe en arrêt. Je les entends faire "oh" en me voyant puis ils se mettent à pouffer.
    Et là, le souvenir horrible de ce que j'ai fait 2h plutôt s'insinue en moi : oui, j'avais la braguette grande ouverte, la culotte en goguette à la vue de tous.
    Je préfère même pas savoir ce qu'ils ont pensé. Je suis devenue aussi rouge que mon siège, me suis ratatinée sur celui-ci, pulvérisée de honte, et j'ai rassemblé trèèès lentement mes affaires histoire de laisser tout le monde sortir.


    Et oui, la classe incarnée.

    LIXUAN

     

     

    Ouais, le plus important c'est de conclure, après tout.


    Pour ce qui est du gagnage de la KitschyMouse, voilà la première anecdote qui me vient à l'esprit :

    Je donnais un cours individuel à un gars dans une société, pis il me demande un cd d'exercices. Je lui dit "à la fin du cours, venez avec moi jusqu'à ma wature, j'en ai peut-être un".

    On va jusqu'à la wature, donc, j'avais une caisse avec des livres et tout et tout pour mon cravail dans le coffre, et donc j'ouvre le coffre, on discute avec le gars, je prends le premier livre sur le dessus et commence à fouiller le coffre. On discute, et vu que je suis du genre à mouliner des bras quand je discute, je lui mouline le livre sous le nez pendant trois plombes. A un moment, je vois bien que je n'ai pas le cd dans le coffre. Alors je dis "bon, ben tant pis, vous en apporterai un au prochain cours alors". Et je me penche pour remettre le livre sur le dessus du coffre.


    Et là, je vois que ce livre, c'est un truc du genre "dynamisez votre baise-age" ou quelque chose du même acabit. Je suis restée quelques secondes la tête dans le coffre à espérer que la terre s'ouvre avant que je ne doive me relever. Est-ce que je dois dire la vérité ? Càd je ne sais pas du tout d'où vient ce livre, c'est po à moi, etc. Ou est-ce que c'est encore plus pathétique ? J'opte pour le fermage de gueule, me relève, et prend dignement congé.


    Les 40 heures de cours individuels ont été très dures pour moi. Le fait que mon cher et tendre actuel, 5 ans plus tard, bosse avec ce stagiaire, n'est pas pour arranger les choses. Je n'ai toujours pas osé aborder le sujet.



    Et pis, pour ne pas vous laisser sur le mystère de d'où que c'est donc qu'il venait ce livre, et ben c'est un pote à moi qui a un sens de l'humour exquis qui me l'avait "offert". A l'insu de mon plein gré.

    CHARISMA

     

     

     

    Il y a un an et demi, je suis avec mon amoureux de l'époque et il vient de se faire retirer son permis. Il habite dans une petite banlieue avec que des pavillons et le seul moyen de gagner le RER, c'est de prendre le car qui ne passe que toutes les 30 minutes. Ce matin la, il a des partiels alors quand le car passe sous notre nez il se met a courir et me crie d'en faire autant.
    Je cours donc... Avec mes nouvelles ballerines. Dans ma course je me retrouve sur un trottoir un peu boueux et décide dans une dernière envolée sauvage alors que je suis tout près du car, de sauter sur cette plaque en métal, là, qui à l'air toute propre. Histoire de ne pas salir mes nouvelles chaussures.
    J'ai glissé. Mon pied s'est tordu, je me suis étalée, la tête dans une poubelle que j'ai serrée très fort dans mes bras.
    Et là j'ai entendu : "Manon, lache cette poubelle, y'a le monsieur du car qui t'attends".
    Quand je suis rentrée dans le car en pleurant a moitié tellement j'avais mal, j'ai compris que tous les passagers avaient été témoins de la scène. Eux aussi, ils pleuraient à moitié. Mais de rire.


    Deuxième honte, à la même periode. Je fais un stage dans le journalisme. La chargée de prod' a un mignon petit chien qui m'adore. Je joue avec lui et sans faire exprès je lui fais mal. Le chien couine. La nana arrive et elle me regarde comme si j'étais un bourreau de chien.

    Je m'excuse auprès du chien en le caressant (oui), donc je suis penchée en avant "oh mon petit minounet, je suis désolée, t'as pas maaaal ?" et là, moment de solitude quand je me relève : je bave.
    Oui. Première fois depuis mes deux ans. Quand je me suis relevée, j'ai bien vu qu'elle avait vu. Là j'ai juste eu envie de disparaitre.

    MANONNN

     

     

     

    Du genre : en voulant dire bonjour à The Boss, je l'ai embrassé sur la bouche, il y avait 20 témoins et je précise qu'au boulot on se serre la main... Mon geste était de l'étourderie, j'étais morte de honte... la suite ? Ben je ne te dis pas les rumeurs !

    LENIA